L'homme invisible
Datte: 09/12/2020,
Catégories:
h,
médical,
prost,
bizarre,
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
rasage,
fdanus,
sf,
... se rendit aux vestiaires des dames, je la vis retirer sa blouse. Elle portait un ensemble culotte et soutien-gorge blanc très simple, elle prit une serviette de toilette et se dirigea vers la salle des douches. Elle se dévêtit intégralement, je me mis devant elle, elle était très ordinaire, ses seins un peu aplatis tombaient et son pubis était très fourni sans être entretenu, je fis le tour pour voir ses fesses qui étaient basses et piquées de petits boutons rouges mais rondes. Elle entra dans la cabine de douche et j’entendis l’eau couler. Je sortis de la zone des employés. Le coup que je réalisais la nuit suivant me mit à l’abri du besoin pour quelques temps et défraya la chronique judiciaire. Pour ma part je tenais, à la fois le moyen de subvenir à mes besoins, mais aussi celui d’assouvir mes pulsions sexuelles qui devenaient de plus en plus fortes et de plus en plus pressantes. Mon invisibilité m’ouvrait des portes jusque-là interdites au commun des mortels. Pendant quelques temps, j’ai suivi des femmes dans la rue, des jeunes des vieilles, jusque chez elles. Et là patiemment j’ai attendu, les ai suivies aux toilettes, les regardant uriner ou déféquer, sous la douche ou faisant l’amour. Dès qu’une femme me plaisait, il me suffisait d’être patient et en quelques jours je savais tout de son intimité, de son physique. J’ai entendu leurs conversations secrètes, lu leurs journaux intimes. J’ai vu des amants, des drames sentimentaux. J’ai caressé la nuit des corps endormis. ...
... Mais mes pulsions devenaient de plus en plus fortes. Alors j’ai décidé de tenter une expérience et me suis rendu chez les prostituées. Tandis que visible je me faisais faire une fellation, j’en profitais pour cacher un flacon d’éther et du coton sous le lit de la belle. J’ai payé la maigre prestation et quitté la fille. Quelques instant plus tard je me suis rendu invisible et ai dissimulé mes vêtements sous la cage de l’escalier. Il fallut peu de temps pour voir la belle revenir avec un chaland. Je les ai suivis, me suis introduit dans la chambre et assisté tranquillement à un limage triste, ayant tout loisir pour observer les yeux de la femme qui parcouraient le plafond avec dégoût, alors que les testicules de l’homme rythmaient son va-et-vient vaginal. Sa queue soulagée l’homme s’enfuit rapidement tandis que la pute se lavait le sexe à même le lavabo jaunâtre. J’ai profité de cet instant pour saisir l’éther en imbiber le coton et sans qu’elle ait pu faire un geste, j’ai appliqué fermement ce tampon en couvrant sa bouche et son nez, elle s’est débattue un court instant et soudain devenue molle s’est effondrée dans mes bras. Je l’ai installée sur son lit. Elle était à demi nue, sans culotte, couchée sur le côté les cuisses fermées formant à la hanche un creux marquant des fesses maigres. Je l’allongeais sur le dos et lui écartais largement les cuisses, découvrant une vulve que je caressais avec avidité. La vulve d’une pute est un endroit interdit, rare sont les professionnelles ...