début de vacances (fiction)
Datte: 09/12/2020,
Catégories:
Hardcore,
Lesbienne
Sexe Interracial,
... lâche tout son jus sur le visage de Béa qui l’étale en se frottant sur son sexe. L’orgasme a été si violent que Béa perd un moment ses esprits. La négresse s’est écroulée à côté d’elle, encore secouée de spasmesDoucement, Béa revient à la réalité, à la superbe gazelle qu’elle vient de sucer. Elle tend la main, touche la peau souple et lisse, lui caresse les fesses. Déjà, une nouvelle vague de désir l’envahit. Que se passe-t-il ? Elle a le bout des seins douloureux tant ils sont gonflés. Elle y sent son sang battre. Son sexe aussi palpite. Elle vient d’avoir un orgasme formidable, et déjà elle ressent l’envie de recommencer à baiser. Maïté lui sourit. Elle aussi semble gagnée à nouveau par l’excitation." Ca t’excite qu’il nous regarde ?— Qui ça?" interroge Béa, interloquée.— "Jean, mon copain, il n’a pas raté une miette du spectacle. Regarde, de l’autre côté de la piscine."Béa découvre alors, allongé dans un fauteuil, un grand noir, nu, qui tient en main son énorme sexe dressé en leur souriant.Béa aurait pu à ce moment pendre peur, ramasser ses affaires et quitter précipitamment l’endroit. Mais elle est trop excitée pour abandonner sa compagne, et puis elle imagine ce pénis qui la pénètre, et mouille encore davantage. Maïté n’hésite pas ; elle lui prend la main et l’amène de l’autre côté de la piscine."Jean, je te présente Béa, j’ai fait sa connaissance sur la plage.— Si j’en juge par ce que je viens de voir, c’est une connaissance approfondie. Vous m’avez offert un ...
... spectacle inoubliable. C’est que vous êtes superbes toutes les deux. Vous me faites bander !— Tu a vu ses seins, ils sont aussi beaux que les miens. C’est fou ce que ça m’a excite, des nichons énormes comme ça. Toi aussi ça t’excite ?"Jean ne répond pas, mais se lève et s’approche de Béa. Son sexe dressé est d’une taille appréciable, Béa se demande un moment si elle pourrait l’emboucher. Sans aucune hésitation, comme s’il voulait examiner la marchandise, Jean s’empare de ses seins, les soulève dans ses mains, les fait rouler l’un contre l’autre. Béa croit à nouveau défaillir. Maïté vient se coller derrière elle. Elle sent le bout de ses seins qui s’écrase contre ses omoplates, son ventre qui se colle à ses fesses. Maïté lui saisit la taille et pose sa main droite sur son sexe encore dégoulinant. Béa ferme les yeux pour mieux s’abandonner aux caresses. Elle ne sait plus qui, de Jean ou de Maïté, lui masse les seins, titille ses tétons, lui triture les fesses et pénètre sa vulve. Elle est prise de partout, son désir est intense. Soudain, elle sent la bite s’appuyer contre sa cuisse. Elle ne peut s’empêcher de s’en emparer. Elle est énorme, longue et dure, elle la sent palpiter dans sa main. Elle commence à la branler, d’abord doucement, puis en accélérant le rythme. Mais elle ne résiste pas longtemps à l’invincible envie de se faire pénétrer : elle écarte davantage les cuisses, et amène le gland contre sa fente. Jean s’enfonce en elle progressivement. La taille de sa bite est vraiment ...