Libertinage puritain
Datte: 09/12/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
religion,
nympho,
hotel,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
double,
exercice,
confession,
humour,
initiatiq,
... femmes le trouvent à leur goût.— Vous serez toujours un jeune fat, baron !— Vous-même, il m’en souvient, n’avez pas toujours été dédaigneuse…— Plus un mot ! Je vais tenter de la convaincre. J’ajouterai que je serai dans la pièce voisine, et qu’elle n’aura qu’à m’appeler si vous devenez trop entreprenant. *** — Que me voulez-vous, baron ?— Vous faire mes adieux, jeune Bénédicte, puisque vous rentrez au couvent.— Eh bien, adieu, baron !— Oh ! Ne fuyez donc pas si vite ! Ne pouvez-vous pas me faire l’aumône de quelques minutes de votre présence, vous qui serez morte au monde dans quelques jours ?— Soit. Qu’avez-vous à me dire ?— Je connais les raisons de votre décision.— Ah oui ?— Et je ne les trouve pas convaincantes.— Peu m’importe.— Renoncer aux plaisirs de la chair n’est que bien peu de chose quand on ne les a pas connus. Votre sacrifice serait autrement grand si vous saviez ce que vous offrez à Dieu.— Mais qui vous dit que je ne le sais pas ?— Le jeune vicomte Gontran prétend en ville que vous êtes bossue !— Le fourbe !— Que votre sein droit est plus petit que le gauche. Que son téton reste désespérément plat.— Mensonge !— Il ne les a donc pas sucés, vos tétons ?— Jamais ! Jamais ! Enfin… pas vraiment.— N’a-t-il pas soulevé votre cotillon, glissé un doigt fureteur dans votre intimité, n’y aurait-il pas mis la langue ?— Mais non ! Il a tenté de le faire, certes, mais je l’en ai empêché.— C’est bien ce que je pensais. Votre sacrifice est de piètre valeur, vous renoncez à des ...
... plaisirs que vous ignorez.— Si je les connaissais, j’y renoncerais quand même.— Permettez-moi d’en douter… Il est vrai que lorsque l’on craint de ne les goûter jamais, parce que l’on a un sein plus gros que l’autre…— Mais regardez-les donc, mes seins et dites-moi si le droit est plus gros que le gauche, ou l’inverse, je ne sais plus !— Ils sont fort beaux, au contraire. Mais insensibles, paraît-il. Y porter la bouche n’en fait pas ériger les pointes.— Voyez-vous-même !— En effet. Gontran en aura donc menti. Roulant sous ma langue, vos tétons sont gros et durs à souhait.— Il suffit, maintenant.— Point encore. Souffrez que je persiste, votre sacrifice n’en sera que plus grand.— Il suffit, vous dis-je.— J’obéis. Je n’ose vous répéter ce que Gontran prétend en outre.— Dites.— Vous auriez sous votre robe quelque chose de repoussant… Est-ce devant, est-ce derrière, Gontran ne le précise pas.— Eh bien, voyez mes fesses, baron ! Sont-elles difformes ?— Non pas. Ravissantes, en vérité, sous cette culotte de fine dentelle. Grâce à la culotte, sans doute.— Mais cessez donc de m’humilier ! Je la baisse, ma culotte, là ! Êtes-vous enfin content ? Ai-je un derrière de singe ?— Non pas, non pas. Il est fort beau, au contraire. Mais alors ce sera devant…— Ce n’est pas plus repoussant devant que derrière ! Voulez-vous vérifier ?— Je n’osais vous le demander.— Eh bien, je me tourne ! Là, êtes-vous satisfait ?— Point encore. Il me faut voir de plus près. C’est peut-être après avoir écarté cette ...