Le Gym
Datte: 10/12/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Le GYM J’ai toujours aimé aller au GYM, m’entrainer, faire travailler mon corps et le pousser à la limite. Façonner mon corps et mon esprit pour me sentir mieux dans ma peau mais aussi pour plaire à ma compagne. J’y vais toujours aux mêmes heures, 3 fois par semaine, la même routine le même GYM. La routine est la mère de la rigueur. Et c’est probablement la clé de mon assiduité. Èva aussi, elle est plus flexible que moi et probablement plus rigoureuse, mais j’aime qu’elle m’accompagne. On se motive mutuellement, on s’encourage. Cette journée là, n’était pas comme les autres. Je ne me rappelle pas exactement la source de la chicane, en fait oui je m’en rappelle mais ce n’est pas important. Il reste qu’elle est descendue de la voiture sans m’attendre, sans me parler. Est montée au GYM, a réservé sa machine de torture sans réserver la mienne. (Elle réserve toujours ma machine). Puis est partie se changer sans m’attendre. Je montais les escaliers lentement, ralentie par la culpabilité d’une phrase de trop, prononcé dans un élan de passion qui a fait plus de peine à moi qu’à elle mais bon… Ce fut plus qu’un entrainement ce jour là, ce fut un purgatoire. La punition qu’on s’inflige à soi-même. Je me suis dirigé vers le panneau des réservations. Elle avait réservé la n°56, un genre de « step elyptique » qu’elle déteste et qui lui fait très mal. Je me voyais déjà coucher sur le sofa, elle devait être vraiment en crisse pour prendre cette machine là. Je m’inscris machinalement sur le ...
... tapis roulant n° 6 la bête habituelle. Puis aller-retour vestiaire. Je décidai de jouer les durs, l’ignorer, attendre qu’elle s’excuse, qu’elle me supplie de la pardonner. Ce n’est pas son genre, c’est moi qui a eu tord et ça ne se passe jamais comme ça mais je suis un gars et je ne prends pas toujours la bonne décision… De retour dans la salle d’entrainement, je me suis installé sur mon tapis roulant, ai fixé le trajet habituel de 30 minutes et puis on est partis, J’ai alors aperçu Èva à 3 machines de moi. J’avais une vue imprenable. Angle d’attaque idéale. Arrière gauche, 45°. Elle se démenait frénétiquement sur sa machine, dynamisée par la rage et la frustration. Ces mouvements étaient secs et vigoureux, elle suait abondamment. J’étais alors terrorisé par la conversation qui suivrait l’entrainement, j’abandonnai donc immédiatement mon plan de jouer l’indépendant pour envisager un plan de supplication. C’est con un gars mais l’instinct de survie, c’est tellement fort. Si elle traite cette machine avec la même fougue qui m’attend à mon retour à la maison…ça promet, me dis-je. Je ne pouvais quitter Èva des yeux, ces mouvements intenses faisaient rebondir ces seins malgré le soutien athlétique dont ils étaient pourvus. On pouvait apprécier leur grosseur, leurs rondeurs c’était très excitant. La camisole quelle portait laissait voir clairement la ligne de bronzage sur le côté de son sein, une image sublime. Ces fesses avaient l’air en feu, faisant pivoter les pédales de haut en ...