Une nouvelle nuit de noces pour Christelle
Datte: 10/12/2020,
Catégories:
ff,
Collègues / Travail
amour,
fsoumise,
fdomine,
initff,
Lesbienne
... demande : — Tu es à moi, ma chérie ? Je suis surprise. Elle utilise la cravate comme une petite laisse et me tire vers la baignoire. Je me laisse faire. Pire, la situation me plaît, j’aime qu’on s’occupe de moi quitte à me comparer à un chien. — Tu aimes te laisser faire. Tu as raison, je vais bien m’occuper de toi. Tout d’abord je vais te pouponner. Elle fait couler l’eau du bain, et me déshabille. J’ai l’impression d’être sa poupée. Elle me lave, me caresse tout le corps, elle s’attarde sur mes seins, sur mon sexe mais aussi sur mon anus. Elle me demande : — Tu es vierge de ce côté là ? Timide je réponds oui. Elle me sourit puis elle me fait sortir de l’eau et me dit : — Allons sur le lit parler un peu. Elle se déshabille à son tour et me rejoint sur le lit. — Tu sais, c’est la première fois que je sors avec une femme mariée. D’habitude je sors avec des filles comme moi. Mais toi c’est différent, je suis tombée amoureuse tout naturellement et je sens le besoin d’être de plus en plus avec toi. Mais c’est si nouveau pour moi que je ne sais comment me comporter, d’habitude je ne fais que flirter et là j’ai envie de durer. Et je ne veux pas te perdre en te faisant peur en voulant rentrer trop vite et trop fort dans ta vie. Tu comprends ?— Merci de me parler. C’est vrai je ne comprenais pas pourquoi parfois tu étais douce et parfois dure. Maintenant je comprends mieux et je te rassure : je me sens bien avec toi. Moi aussi je suis amoureuse de toi. À ce moment-là elle pose un ...
... doigt sur ma bouche puis elle m’embrasse. Tout en m’embrassant fougueusement, en tournant sa langue dans ma bouche, ses mains parcourent mon corps, s’attardent sur mes seins, descendent sur mes cuisses dont elles caressent l’intérieur. Puis elle descend du lit, me tire les jambes pour que, agenouillée sur le parquet, sa tête se rapproche de mon sexe. Sa langue parcourt mes cuisses, survole mon aine, titille mon clitoris déjà gonflé et plonge directement dans mon sexe déjà humide. Écartant mes cuisses de ses mains, elle s’ouvre mon vagin aux assauts de sa langue. Je commence à gémir fortement. Pour ne pas réveiller les enfants, je prends la main de la Mélanie, je la mets dans ma bouche et la suce doucement. Mon cœur bat la chamade, ma poitrine se soulève de plus en plus vite. Très vite, je ne peux retenir un flot de mouille qui inonde la bouche de Mélanie. En avalant le plus gros, elle cesse lentement ses caresses buccales pour finir par se redresser. Affalée sur la banquette, assommée par cette première jouissance, je reste immobile. Puis je m’assois sur le rebord du lit, lui demande de me rejoindre. Je ne lui parle pas, je l’embrasse avec toute la tendresse du monde. Cette fois c’est ma langue qui part dans sa bouche. Je veux que ce baiser dure toute la nuit. Quelques minutes plus tard, avec un regard de jeune fille je lui annonce : — Je t’aime Mélanie. Elle me répond aussitôt : — Moi aussi, Christelle, et j’ai encore envie de toi, tu es encore mon épouse pour quelques heures ! ...