Laurence se déchaine (11)
Datte: 10/12/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... Marine. Marine commença très rapidement à lui enfiler trois doigts, sachant que sa tante est une adepte du fisting, autant ne pas la laisser refroidir. Et le temps de vous écrire ces quatre mots, que déjà la main de sa nièce coulisse dans son col utérin, allant jusqu’à la garde. Laurence râlait d’un plaisir profond, interrompant le fisting qu’elle continuait à pratiquer sur sa sœur, qui, n’était plus très loin de son orgasme, reprenant ses esprits, consentante de la situation, elle s’appliquait à sucer cette queue, qui restait très active, dans sa gorge. Jean-Marc avait lui aussi, du mal à se contenir, il sentait la jouissance plus très loin, de voir ces trois femmes en pleines activités. Mais c’est Anaïs qui se cambra la première, lâchant un long jet de cyprine tiède arroser le visage de Laurence, la bouche ouverte, pour en boire le plus. Jean-Marc, lui, dans la continuité, lui cracha son épaisse et abondante sève, au plus profond de la gorge de sa belle-sœur, qu’elle avala, sans rechigner. Laurence continuait à se faire fister par le bras de sa nièce, qui allait et venait dans ce ventre béant, haletante, criant de plaisirs, elle s’ouvrait de plus belle. Marine, excitée de sa pratique sur sa tante, avait besoin de se faire démonter le cul. Sans cesser son fisting, elle fit signe à son oncle de venir la rejoindre. Celui-ci laissa Anaïs pour venir aux côtés de Marine. — J’ai envie que tu me défonces le cul. Dit-elle. Tantine, lèche ta sœurette... Elle adore se faire nettoyer ...
... les orifices après avoir joui... Ah !!! Hum !!! C’est ça, fais-moi jouir... Ah... Ah... Marine, qui s’était penchée en avant, cambrant ses reins, afin d’accueillir la main virile de son oncle, qui, à l’instant où elle cria son plaisir, venait de la fister d’une main en totalité, jusqu’au poignet, lui tirant sur son perinet, à la limite de la déchirure. — Ah !! Tu n’es pas aussi accueillante que ta mère !!! Mais tu laisses pas ta part au chat. Dit Jean-Marc. Et presque dans un même temps, la nièce et la tante jouirent profondément, à pleine gorge. Tout ceci, sous le regard de sa mère, sous l’effet de son somnifère, dans un mélange d’excitation et d’incompréhension, à la situation très particulière. Chacun reprenant ses esprits, Marine ne voulait pas en rester là. Elle avait faim, faim de jouir, encore et encore. Le trio debout, alors qu’Anaïs restait affalée dans ce canapé, sa sortie de douche rose, totalement ouvert, offrant sa nudité, cuisses ouvertes, d’où ruisselait de sa glaire toute fraîche, à demi-sommeil. Marine, qui ne cachait pas ses envies, avait sa main droite agrippée au membre, à demi- repos de Jean-Marc, et son autre main agaçant le clitoris de sa tante, tous deux se laissant aller à la caresse. — J’ai envie de baiser, toute la nuit, je suis une nymphette... Que diriez-vous d’aller nous faire une balade nocturne ??? Tantine, j’ai vu que tu portais un collier en cuir... Tu vas te faire chienne... Ordonna-t-elle. — Mais que fait-on de ta mère ??? — Oh, c’est très ...