Séduction délicate de la soeur de ma mère (4)
Datte: 10/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... tu me baises bien mon chéri…Soupira-t-elle en se détendant. Son bas ventre avait recueilli ma semence, néanmoins ma tante restait allongée gardant mes mains prisonnières. Certes nous restions dans un pur coït incestueux mais ce débordement inhabituel de tendresse fut surprenant. Véro fraichement pénétrée et étourdie des émotions de notre ébat peu commun remettait son débardeur à l’envers. Encore une fois, ses mots prononcés en pleine jouissance la remplissaient de gêne à mon égard. Elle s’éclipsa pour revenir dix minutes plus tard, après avoir prît une bonne douche. Vêtue d’un tee-shirt bien court et uniquement d’un slip, je ne pouvais rêver mieux de la voir plus sexy. Les cheveux encore mouillés lui donnaient une sensualité hors norme. Je la trouvais tout simplement superbe, désirable… Il était l’heure de l’apéritif. - Patrick, tu es différent des hommes que j’ai connus. Commença-t-elle. — Je tiens à toi tout simplement. — Et moi donc Patrick, tu n’imagines pas en ce moment le bonheur que tu me procures. Arriva-t-elle à prononcer avec une voix tremblante, émue par ma première phrase. — C’est cool de le faire avec toi, on est si proches. Dis-je en la regardant. — Oui mais j’ai un peu honte si tu veux savoir. — Je m’en fous, je prends un pied pas possible avec toi et les sentiments arrivent… — Euh que veux-tu dire par là ? Tu avais précisé pas de sentiments entre nous ? - Oui en effet, pardonne-moi pour cette confidence. Il n’y avait pas d’hypocrisie dans mes paroles. Je ...
... disais avec sincérité ce qui me passait par la tête. Véronique attendrie par cette révélation se leva et se mît face à moi en croisant les bras. — Viens m’embrasser. Dit-elle affirmative. Face à moi, elle posait ses mains sur mes épaules en pure femelle mature et nous débutions par un baiser hautement sensuel. Véro m’embrassait les yeux fermés en me laissant visiter avec soin l’intérieur de son palais, sous la vigilance de sa langue adroite. Ce baiser était révélateur de ses sentiments à elle. Peu à peu, au fil des minutes s’écoulant il prenait la dimension d’un symbole dépassant notre cadre sexuel habituel. Ma tante s’employait autant que moi à se fondre l’un dans l’autre, par un jeu subtil entre nos lèvres et nos langues respectives. Nous n’étions plus dans l’accouplement purement physique, c’était pour ainsi dire un accouplement de nos sentiments lié à un seul geste, un baiser profond. A la fin, Véronique ouvrit les yeux et me caressa le visage. — Je suis heureuse avec toi Patrick. Prononça-t-elle avec une sincérité désarmante. — Ne prends pas ce ton désolé, tu n’es pas la seule à être heureuse. Lui répondis-je en lui caressant ses fesses tant désirées. — Embrasse-moi encore Patrick. Me demanda-t-elle en m’enlaçant avec des gestes reflétant plus que de la tendresse. Cette fois, notre baiser devenait purement jouissif. Je sentais les lèvres de ma tante contre les miennes, nous échangions nos salives tels deux amants assoiffés l’un de l’autre. Serrée contre moi, ma tante ...