Séduction délicate de la soeur de ma mère (4)
Datte: 10/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... frisait l’indécence morale. Véro me regardait d’un regard coquin en devinant très bien mes intentions. Contre toute attente, elle reprit d’elle-même cette conversation peu commune entre une tante et son neveu. Avec ses jambes croisées et son tailleur élégant, elle m’excitait comme un beau diable et l’envie qu’elle me fasse une fellation devenait omniprésente. Je prenais cela comme une sorte de défi et envisager ses belles lèvres sur mon bas du corps me donnèrent de véritables étincelles dans la tête. — Tu me posais la question avec une suite dans les idées Patrick, pas vrai ? — Bah je vais répondre comme toi…je ne dirai pas non si tu me le faisais. Répondis-je au culot. — Ecoute hier je n’avais aucune intention de te le faire, j’étais plus câlin et pour ce genre de chose il me faut du temps, un état d’esprit, des sentiments forts et puis je serai terriblement gênée de te le faire. Je te le dis franchement. Avoua-t-elle. — Quand je lèche ta jolie chatte, je n’éprouve que du plaisir, tout comme toi. Renchéris-je. — Oh comment tu parles ! …Oui moi aussi j’aime, je ne vais pas te mentir et en plus je dois te le dire, tu le fais très bien, vraiment très bien. Mais là c’est trop intime ce que tu me demandes pour le moment. Me confia-t-elle. — En fait pour conclure, tu le ferais si tu éprouvais des sentiments forts comme tu as dit. Je touchais droit au but en parlant de son affection, de son attachement envers moi. Moi qui lui interdisait des sentiments amoureux, j’étais en pleine ...
... contradiction dans mes dires. Sachant ce qu’elle éprouvait à mon égard, c’est à dire une complicité dépassant largement le cadre tante-neveu, je voulais lui faire avouer sa pensée profonde. Véronique allumait une cigarette et jouait machinalement avec son briquet, preuve qu’elle se trouvait dans une sorte de dilemme. Donc si elle ne se soumettait pas à ce que je lui demandais, cela signifiait que nous étions dans un cadre purement sexuel, mais si elle acceptait, elle m’avouait être amoureuse de moi. Les minutes s’écoulaient et le garçon resservit le restant de la bouteille de blanc. — Je ne sais pas quoi répondre Patrick. Ta conversation est si embarrassante et puis on ne parle que de sexe. Conclut-elle. — Bon, n’en parlons plus et demandons l’addition. Dis-je cachant ma déception grandissante. — Patrick, ne le prend pas mal. Je ne t’ai pas dit non mais laisse-moi un peu de temps. Je suis un peu perturbée depuis hier. Ajouta-t-elle d’un ton attendrissant. — Nous prendrons le café en rentrant si Patricia nous oublie un instant ! Terminai-je sur une note d’humour. — Oh celle-là, c’est ton amoureuse attitrée et elle va certainement vouloir t’inviter chez elle pour te draguer ! S’exclama ma tante dans un éclat de rire contagieux. — C’est une jolie femme élégante mais je préfère de loin celle qui est en face de moi. Véro légèrement confuse par de tels aveux éteignait sa cigarette. Je payais l’addition et prenais le volant dans le simple but de rentrer. Véro me remercia mille fois ...