Séduction délicate de la soeur de ma mère (4)
Datte: 10/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... lui offrais une robe de nuit en satin blanc. La vendeuse appelait ce modèle Kimono court, du fait de sa ceinture pour la fermer et du modèle assez court. Véronique ne voulut pas l’essayer, sûre que la taille était la bonne. Elle me promettait de la mettre le soir même. En fin d’après-midi, ma tante elle-même décida de stopper nos courses, un peu fatiguée d’une telle marche. Je lui conseillais vivement de se relaxer dans la piscine, ce à quoi elle me répondait qu’elle n’aurait rien contre un de mes massages dits californien par la suite. J’en déduisais ainsi qu’elle serait à priori ouverte à faire des choses avec son neveu, des choses nouvelles tant qu’à faire. - Je vais me mettre en maillot. Me dit Véronique en rentrant. — Attends voir… Je la saisissais par la taille en déboutonnant son chemisier, pour me dévoiler ses deux belles poires ne demandant qu’à être cueillies. — Eh tu ne perds pas de temps ! — Viens près de moi. Lui ordonnai-je en l’embrassant à pleine bouche. Véro d’abord surprise se prêtait au jeu et à son tour, sa langue festoyant avec la mienne. Elle prit du recul puis dans un sourire, elle m’adressa quelques paroles. — Patrick, on a tout notre temps…alors doucement. Me lança-t-elle. L’envie de me la faire immédiatement s’estompait tout naturellement. Ces derniers mots prononcés raisonnaient dans ma tête, Véro avait le temps. Mais pour le sujet évoqué à midi ? Était-ce une mauvaise interprétation de ma part ? Je préférais rester indifférent et la laisser ...
... venir, il était évident que la brusquer n’arrangerait rien après notre conversation osée. Nous parlâmes peu l’après-midi, Véro lisant un magazine et moi écoutant de la musique pour penser à autre chose. Mais en scrutant son visage, sa bouche, ses lèvres, un début d’érection m’envahissait progressivement. Il me fallait rester patient et surtout rassurant pour qu’elle passe à l’acte, dégoutant aux yeux de certains et purement sublime pour d’autres. Je considérais cette pratique comme un aboutissement entre deux êtres, alors que ma tante me le fasse, c’était ou ce serait l’apothéose, la consécration d’un acte irréel avant l’étape supérieure voire finale avec son derrière féerique. En fin d’après-midi, la sonnette retentit et Véro me fit signe d’ouvrir, le temps d’enfiler un débardeur qu’elle ne trouvait pas. Sans le lui dire et au bruit du moteur, il ne fallait pas être devin pour savoir qui se présentait au lendemain de notre soirée. Patricia tout sourire attendait dehors avec une écharpe à la main. Toujours super canon, la voir avec des escarpins en short relevait du mauvais goût mais lui donnait un air sexy…franchement sexy (!). — Surprise ! S’exclama-t-elle avec le bras levé, une écharpe à la main. — Salut Patricia, Véro l’a oubliée hier ? — Oui et comme je passais dans le coin je me suis dit que ce serait sympa de le lui ramener, mais dis-moi tu es seul ? Se réjouit-elle en me dévisageant en maillot de bain. — Non d’ailleurs j’entends Véro arriver…Répondis-je en m’éclipsant. Le ...