Alice & Megan (6)
Datte: 21/10/2017,
Catégories:
Lesbienne
... fit-elle autoritaire. — Mais je... — Je ne t’ai pas demandé de parler non plus, susurra-t-elle en claquant mes fesses. Instinctivement, je me tue. Je n’avais pas envie de lui désobéir, ni de la contrarier et j’étais forcée d’admettre que ce ton autoritaire m’excitait. Toujours allongée face contre le marbre, les jambes écartées et les fesses offertes, je ne bougeais plus. Seule ma respiration me trahissait. J’aimais ça. tkcthhj Megan caressa mes fesses puis les écartas et cracha sur mon petit trou, ce qui m’arracha un sursaut. Doucement, elle le caressa puis y introduit un doigt. Elle le fit aller et venir en moi, tout en me maintenant les poignets, emprisonnés dans le bas de mon dos. — Tu vois, tu sais être sage quand tu veux. J’ai ce qu’il te faut... Ne bouge pas. Sur ces mots, elle m’abandonna, la dans sa cuisine et disparue dans l’appartement. Aussi idiote me sentis-je dans cette position, je décidais de ne pas bouger et de lui faire confiance. Megan revint quelques instants après et se plaça derrière moi, les mains sur mes fesses. Elle entoura mes poignets de ruban adhésif, ramassa ma culotte avant de ne me la mettre dans la bouche et de la recouvrir, elle aussi de ruban adhésif. — Tu vas voir chérie, ça va te plaire... Chuchota-t-elle à mon oreille. Elle se remit à jouer avec mon anus, à le caresser, le titiller, enfoncer un doigt, le ressortir, en ...
... remettre un... Lui être si intimement exposée m’excitait au plus haut point, je me sentais mouiller et dégouliner sur le sol de sa cuisine. Soudain, quelque chose se plaça à l’entrée de mon vagin. Quelque chose de gros. Trop gros. Megan portait un gode-ceinture. Je la sentais s’accrocher à mes hanches et s’enfoncer tout doucement en moi. Ses allers-retours étaient lents, et restaient à l’entrée de mon sexe, quand tout à coup, elle s’enfonça brutalement. Je hurlais. Je me sentais comme écartelée, sans aucun moyen de me défendre. Megan continua ses allers-retours, rapides et brusques, me déchirant à chaque coup de reins. Mes poumons se remplissaient et je les vidais aussitôt en hurlant de toutes mes forces. Il ne fallut que quelques secondes pour que la douleur devienne un plaisir fou. Cette fille me pilonnait littéralement, elle y allait de toutes ses forces et me faisait perdre la tête. Mes genoux tremblaient, je hurlais autant que je pouvais dans mon bâillon au gout particulier de mon propre jus. Mes poignets me faisaient mal, mais je n’en avais que faire. Sans s’arrêter, Megan écarta mes fesses et rentra violemment un doigt en moi, par-derrière. Ce fut à ce moment précis que je basculais dans la jouissance. L’orgasme déferla en moi et je perdis connaissance, me laissant glisser contre le plan de travail, avant que mon corps entier ne soit étendu au sol.