Surpris par ma femme (1)
Datte: 11/12/2020,
Catégories:
Hétéro
... affalée, la tête un peu dans les coussins, le souffle un peu court, le corset la moule, ses bas frottent contre ma peau, j’ai empoigné ses fesses et la pénètre en rythme, je distingue son autre entrée, sillon entre ses fesses douces désormais couvertes d’une fine pellicule de sueur. Je la sens trembloter de plus en plus sous moi et elle vient taper, chercher ma queue — Plus fort mon chéri, ça monte... J’exécute sa demande, mon bassin vient taper contre ses fesses, elle a ramené ses mains sous elle pour se branler et se caresser les seins — Tu te touches de nouveau coquine ! — Oui et c’est bon... je... je me caresse, tu me sens couler hein ? — Ma queue est pleine de ta mouille, c’est. hmmh un régal. — Vas-y encore, ça monte, ça monte... Je la prends plus profondément, elle dégouline littéralement — Ooh puutain, j’adore, j’adore tout ce que tu me faiiis. Il me vient une idée qui correspond désormais à notre nouvelle situation, j’écarte les deux globes jumeaux avec mes mains, admirant son petit œillet — Tu mates mon cul, ça te fait bander mon salaud. Je ne réponds rien, laisse couler un peu de salive sur son petit trou et y enfonce doucement l’index — Oh salaud ! C’est boooon ! Son petit trou bien humide aspire mon doigt et elle gémit de plus belle. Je me mets au diapason. — Ma petite salope se fait bien bourrer et a un doigt dans le cul ! — Ouiii, ta petite salope adore... adore, je vais, je vais... — Tu vas quoi hein ? J’intensifie encore mes coups de queue, planté ...
... profondément dans sa chatte, profitant d’être dur longtemps — Je vais jouiiiir... Et elle part dans un grand cri soudain ; la bouche ouverte, haletante Je la sens se crisper, puis se ramollir dans mes bras, j’ai ralenti car elle n’en peut plus Un long moment se passe et je suis toujours en elle, dur comme un roc pendant que je la sens doucement reprendre haleine pendant que je me retire doucement. — Quel pied, j’ai la chatte en feu. Elle se retourne à moitié, voit mon sexe tendu et rajoute " hmmh et toujours aussi en forme je vois " Je n’ai pas vraiment le temps de me redresser qu’elle m’attrape le sexe en disant " Je veux déguster ça " et m’embouche à nouveau Je me laisse sucer un peu, puis la stoppe et lui demande de se remettre comme avant. Elle me sourit, ayant compris ce que je voulais et y acquiesce en se remettant en position devant moi, croupe tendue. Mais elle reprend l’initiative en écartant elle-même ses fesses, m’offrant une vue sur son petit trou qui me semble palpiter et me disant " vas-y !" Je ne me fais pas prier et m’introduis doucement dans son petit trou qui m’avale centimètre par centimètre. Je suis tendu, et je savoure doucement cette sensation d’être serré, pris dans un étui chaud que dis-je brûlant. Gabrielle geint, souffle et son petit postérieur s’orne d’une fine rosée de sueur sous la tension de cet acte ; de ce don si intime. — Tu me remplis Souffle t’elle Je pousse encore un peu et je réponds " Ton petit cul m’a pris entièrement chérie " — Tu es sûr ? ...