1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°848)


    Datte: 11/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... domestiques, d’autant plus interloqués qu’ils ne s’attendaient pas du tout à un tel honneur, alors que Le Marquis d’Evans avait dans son cercle d’amis intimes des personnalités de la plus haute importance qui auraient pu être des convives de meilleurs choix. Mais, tant l’un que l’autre n’avaient pas pour habitude de discuter, et encore moins de contester, les décisions du Maître des Lieux qu’ils admiraient profondément et servaient fidèlement depuis des décennies. Le Noble avait même décidé du costume qu’il avait fait confectionner pour chacun. En ce qui Le concerne, le Châtelain avait au tout début hésité avec un déguisement du costume impérial de Napoléon Bonaparte, histoire de la jouer carrément « Empereur Dominant » pour une soirée, mais finalement il trouvait qu’IL n’avait pas du tout l’allure physique et psychique du « corse », très petit en taille et un tantinet d’autant plus bedonnant, qu’il semblait avoir choisi d’adopter en permanence une attitude figée en gardant toujours sa main gauche coincée dans l’ouverture de son gilet, entre le torse et le ventre. On pouvait difficilement mettre en doute le caractère plus que directif de celui qui marqua fortement son passage dans l’histoire de France et qui était un réel « dominant dans la vie vanille » (à défaut de savoir ce qu’il en était dans la vie chocolat telle que nous la définissons actuellement, puisque ces deux termes n’étaient dans ce cas que des anachronismes). Mais justement, Le Marquis d’Evans avait renoncé à ...
    ... cette inspiration initiale pour ne pas faire un amalgame entre ce qui relevait de la saine et pure Domination/soumission BDSM en tant qu’Art de Vivre respectueux et tout ce qui transitait autour des enjeux de pouvoir, obtenus plus ou moins par la force ou les circonstances, et ce, qu’ils soient politiques, économiques, affectifs, ou de quelque ordre que ce soit. Le Châtelain trouvait de plus qu’il y avait bien plus de Noblesse à assumer ce qu’IL était dans Sa propre vie, en hommage tout d’abord à Son père qu’il affectionnait tout particulièrement, Marquis d’Evans avant Lui, mais également à tous Ses aïeuls depuis plusieurs générations. IL avait donc fait confectionner une tenue de Marquis de l’époque baroque, se servant comme modèle de l’une de celles qu’il avait aperçu sur l’un des nombreux portraits de famille que l’on pouvait apercevoir dans les couloirs du Château, où étaient représentés tous les Marquis d’Evans, de père en fils, s’étant succédé en lignée directe depuis presque 400 ans. Les deux serviteurs porteraient quant à eux une tenue d’apparat de cosaque à la différence près que ce serait une cravache qu’il garderait en main et non une épée ou un sabre. Bien entendu, il avait fallu se jouer des réalités historiques pour faire confectionner une tenue féminine pour Marie assortie à celle de Walter, mais la finalité était une soirée costumée et non un quelconque tournage documentaire devant servir de mémoire authentique. Cet uniforme porté sur de grandes bottes noires ...