1. Sonia - La grosse du camping


    Datte: 12/12/2020, Catégories: fh, gros(ses), grosseins, groscul, vacances, plage, douche, Oral pénétratio, fsodo, uro, confession, attirgros,

    ... vraie traînée », « une salope d’allumeuse doublée d’une grosse pute »… et j’en oublie. Moi, cela m’amusait… Et cela m’attirait… Le jour où tout à basculé, je me préparais à sortir faire un tour avec ma moto. Sonia passa devant ma guitoune et me dit un bonjour, toujours aussi souriant et amical : — T’en as une belle moto !— Ouais, je l’aime bien. T’en as déjà fait ?— Non mais ça me plairait bien d’en faire.— Je finis de la préparer et si tu veux on peut faire un tour.— Super ! Avec plaisir !… Dis-moi, tu la bichonnes drôlement… Effectivement, j’étais en train d’en briller les chromes ; elle reprit : — … et tu es aussi attentif avec ta femme ?— Non, plus maintenant ; je suis un vieux célibataire de presque un mois ! Accroupi vers les cylindres de mon bolide, je lui matais franchement ses gros nichons, sans me cacher. Elle me fit un large sourire et soupira d’un petit rire : — Ils te plaisent ? Je répondis sur le même ton amusé : — Je sais pas, je les ai pas vus !… En vérité, ils m’impressionnent… Je peux te poser une question gênante ?— Une question gênante ? Ça dépend, tu veux savoir quoi ?— Leur taille !— C’est pas gênant : je fais du 120F ; et ce sont des vrais ! me dit-elle fièrement. Et ils ont encore grossi cette année. C’est la marque de fabrique dans la famille ! (rires)— Waouh !— Non alors, on fait un tour ? Je montai sur mon bolide et l’avançai dans l’allée : — Vas-y, monte ! lui lançai-je. Ouf ! quel poids elle faisait ma Sonia : son enfourchement avait bien ...
    ... comprimé les boudins de ma moto ! On sortait donc du camping et déjà je sentais frotter sa poitrine contre mon dos… et je sentais également déjà l’excitation monter. Sur la route, elle délaissait les poignées à l’arrière pour m’enlacer : — Ça te gêne pas ?— Non !… Au contraire ! Tu parles ! Je sentais encore plus sa poitrine contre moi ; ses bras n’arrivaient même pas à faire le tour de mon corps. Après seulement une vingtaine de minutes de route, je proposai une pause cigarette. On finit par arriver dans un petit village que je connaissais ; il y avait un beau parc, souvent déserté par les vacanciers qui préférait bien sûr les plages. On alluma ainsi nos clopes et, tranquillement, allâmes nous asseoir au-delà des bancs, derrière une dune. Le sujet ne divergeait pas beaucoup… : — Ils m’impressionnent !— T’as pas arrêté d’y penser sur le chemin, hein ?— Vu comment tu te calais contre moi, j’ai pas pu les oublier ! lui dis-je sur un ton rieur.— Tu veux les voir ?— … et si je peux, les toucher ! Elle ne me répondit même pas ; en me souriant, elle releva d’une traite son tee-shirt. Elle me fixait du regard ; j’avais déjà le mien hypnotisé par le spectacle de cette poitrine que j’avais imaginée durant notre périple routier. Malheureusement, son soutien-gorge était vraiment laid : une énorme parure d’un vieux blanc cassé, très large mais qui n’arrivait pourtant pas à englober ces protubérances mammaires. Mais cela ne me dérangeait pas : je ne regardais plus que ça et lui caressais ...
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