1. Année de terminale (20)


    Datte: 12/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    Je me glisse doucement dans son lit pour ne pas le réveiller. Mais, il a dû sentir ma présence. Et d’une voix empreinte de sommeille, il me demande • Pauline ? Qu’est-ce que tu fais ? • Je n’ai pas envie de dormir toute seule. • Mmmmhhh ? Ok... Bonne nuit, ma belle. • Bonne nuit. Il s’était couché avant moi, je regardais des débilités à la télé. Je n’avais pas envie d’aller dormir. Et puis, à plus de trois heures du matin, j’ai décidé de tout éteindre. Mais, c’était avec mon père que je voulais dormir. J’attends qu’il se rendort. Rapidement, son souffle devient plus soutenu. Il se met même à ronfler. Ca doit le déranger lui-même car il bouge et se met sur le côté. Je le regarde dormir, voyant sa nuque, le haut de son dos nu. C’est vrai qu’il ne dort jamais habillé. Je crois ne l’avoir jamais vu de ma vie dormir avec quelque chose sur lui. Peut-être a-t’il un caleçon ? … Non, il n’en a pas. Je viens de vérifier avec ma main. Et je me souviens le nombre de fois où ma mère l’incendiait parce qu’il se baladait à poil. Et lui, répondait "C’est bon, je vais juste aux toilettes. Arrête de faire chier". Elle trouvait mal sain que je puisse voir la quéquette de mon père. Mais, ça ne me choquait pas. Je m’en fichais qu’il soit à poil... C’était il y a bien longtemps maintenant. Depuis l’adolescence, je ne l’ai pas souvent vu nu. J’ai envie de faire comme lui. Comme il ne semble pas gêné de dormir à poil à côté de moi, alors il n’y a pas de raison que je le sois aussi. Je retire mon ...
    ... tee-shirt de dodo et mon shorty. Il n’y a pas de raison d’être embarrassée, mais ça me fait tout étrange. Ce n’est pas comme ce matin où c’était moi qui était nue et lui habillé, c’est... Merde, je commencer à bien mouiller, je suis toute excitée. Je me mets à me caresser le ventre, les seins, mon entre-jambes. Il recommence à ronfler, ça cache mes petite gémissements. Je n’ai pas envie qu’il se réveille et découvre que je me masturbe à côté de lui, à cause de lui. Je vais doucement, c’est dur de se contrôler. Peu de temps après, alors que j’ai l’impression qu’il est toujours dans son sommeil, je l’entends dire "Arrête de bouger". Je stoppe net, il se remet à ronfler. Mes idées coquines reprennent. S’épile t’il toujours le pubis ? Je me souviens ma mère s’être foutue de sa gueule en le voyant, disant clairement, histoire de lui mettre la honte devant moi "T’es vraiment ridicule, tu te rases maintenant les couilles". Il ne l’a pas fait pour elle en tout cas, c’était sûr. Mais, pour qui alors ? Il a dit qu’il ne l’avais jamais trompé... Serait-ce pour lui ? Parce qu’il aime ? Je l’ai bien fait pour Paul, mais j’aime mieux sans rien. C’est plus sensible, c’est plus coquin aussi. Et j’aime bien la douceur de ma peau lorsque c’est fraichement rasé. Alors, continue-t-il ? Je pose ma main sur sa hanche, il ne bronche pas. Je la glisse, j’arrive à son pubis... Pas un poil... C’est doux, j’aime ce touché. Mes doigts caressent, je me mords la lèvre inférieure, ça me plait, ça m’excite. ...
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