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Tu l’as cherché. 16
Datte: 13/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe
- Où me conduis-tu, Alain ? - Mais tout bonnement dans notre appartement et plus précisément dans notre chambre à coucher. Connais-tu meilleur endroit pour faire l’amour? Tends ta main gauche par là : tu reconnais le bois de mon fauteuil Voltaire et son tissu ! Pourquoi cette question? Tu n’as rien de mal à redouter, je suis ton mari, plus amoureux que jamais. Quel culot ! Tu parles, un mari qui me cocufie, voilà ce qu’il est. J’ai envie de lui arracher les yeux. Par sa faute j’ai couché avec mon père, je vomis le traître. La vengeance ne tardera pas. Mon silence l’étonne, il insiste : - Fais-moi confiance ma chérie. - C’est vrai, c’est ton fauteuil. Je n’en dis pas plus. Mais n’est-il pas surprenant qu’une odeur de tabac flotte dans notre chambre à coucher, alors que ni lui ni moi ne fumons ? C’est l’odeur que trimballent .inconsciemment sur leurs vêtements les fumeurs impénitents. Alain a-t-il reçu ici des fumeurs en mon absence ? Il n’est pas de la jaquette, que seraient venus faire ici ces gens? Martine serait fumeuse ? Non, il ne peut pas avoir poussé le vice au point de la baiser dans le lit conjugal. Il est trop trouillard pour assumer un tel excès. Il me trompe, mais en cachette. D’ailleurs Martine aurait laissé des effluves de parfum. Or je ne remarque pas d’odeur caractéristique d’un parfum féminin. Y aurait-il ici un fumeur en ce moment, ce serait la surprise. - Te voilà près du lit. Laisse-moi t’enlever tes vêtements. J’adore te dénuder. Lève les bras, voilà ta ...
... merveilleuse poitrine prisonnière de ton soutien gorge, Je la libère et je cède au plaisir d’embrasser chaque sein. Tes tétins sont toujours aussi sensibles et pointent dès la première caresse. Ils méritent un baiser, une légère succion. Tu aimes? Il n’est pas si bavard d’habitude, c’est comme s’il commentait ses gestes pour attirer l’attention d’un autre sur les particularités de mon corps. Je réponds à sa question de façon neutre et je tends l’oreille pour entendre éventuellement la respiration d’ un étranger. - Depuis quand doutes-tu de mon amour ? - Je n’en doute pas. Ce téton est tout dur entre mes lèvres. Il ne faut pas permettre à l’autre d’être jaloux. Il tète le sein gauche, pince tout doucement l’autre entre pouce et index. Apparemment il domine son envie, fait durer. Ah ! Quelqu’un a du mal à déglutir, je l’entends Je suis persuadée que nous sommes plus de deux dans la pièce et que le déshabillage auquel Alain me soumet en me faisant tourner sur moi-même, a au moins un témoin qui a failli s’étrangler quand Alain a décollé mon string de la fente de mon sexe. Ça y est, je comprends : j’avais refusé de copuler avec l’un de ses amis en sa présence. Il contourne mon opposition :sous prétexte de me surprendre, il veut parvenir à ses fins ce soir. Ce sera bien une surprise s’il réussit à me livrer à un complice. J’ai les yeux bandés et il espère me faire avaler qu’il sera l’auteur de mon plaisir quand un autre, plus en forme que lui, me bourrera de coups de bite. Il me ...