1. La croisière (5)


    Datte: 13/12/2020, Catégories: Hétéro

    ... peau contre sa peau. Il l’entraîne vers la cabine, mais Raphaëlle se tourne vers Isabelle : — Viens, maman. — Mais, mon bébé… — S’il te plaît… viens. Isabelle hoche la tête et se lève. Elle dénoue le paréo, entre nue dans la cabine et s’étend sur le lit. Marc et Raphaëlle sont encore debout. Ils s’embrassent. Pour le moment, les corps se cherchent. Raphaëlle n’aime pas céder ; elle veut garder le contrôle de l’échange de leurs baisers. Poussant Marc contre la paroi, elle glisse sa main pour s’emparer de la queue dure. Elle le branle en serrant fort cette verge épaisse avec sa petite main en fait à peine le tour. La lumière du jour éclaire la cabine d une lueur grise ; la pluie crépite en permanence sur le pont du bateau. Marc mordille la bouche de la jeune fille qui répond morsure pour morsure ; il sent le goût du sang dans sa bouche. À présent, il embrasse le cou et les seins lourds, léchant et respirant le parfum de sa peau, puis il glisse à genoux et fourre son nez dans la fente de l’adolescente. Son sexe a une odeur poivrée de rousse que Marc hume longuement avant de plonger sa langue dans le sillon humide. Appuyée contre la paroi, Raphaëlle a posé un pied sur le matelas pour s’ouvrir largement. Elle pousse des petits cris, lèvres fermées, comme si elle voulait garder le contrôle, même dans la jouissance. Elle a planté ses doigts crispés dans la chevelure épaisse et grise. Elle donne des coups de reins spasmodiques pour aller à la rencontre de cette bouche que la ...
    ... fouille. Les yeux fermés, les joues creusées, la peau plus blanche que d’habitude, elle sent la jouissance monter en elle. Elle essaie de repousser l’instant où son corps va se crisper sous le plaisir. Elle frotte sa chatte humide contre le visage de Marc et elle s’arcboute et se presse jusqu’à l’étouffer. Fascinée, Isabelle suit la progression de la jouissance de sa fille. C’est comme si elle voulait tout garder à l’intérieur d’elle-même : la contraction des muscles, les lèvres blanches d’être trop serrées, les doigts crispés dans les cheveux de Marc. Raphaëlle a des larmes au coin des yeux, puis elle jouit, lèvres fermées, presque sans un bruit, puis elle voit les épaules de sa fille s’abaisser, sa bouche s’ouvrir pour happer de l air comme si elle était restée en apnée un long moment. Marc se relève et fait face à Raphaëlle. Lui aussi reprend son souffle. Son visage est maculé de mouille. Il effleure le visage de la jeune fille qui prend la main qui la caresse pour embrasser les doigts, puis pour planter ses dents dans la pulpe de la paume. Il découvre qu’elle a des larmes dans les yeux, mélange de plaisir, d’abandon et de rage. Il ne s’explique pas cette colère qui d’un seul coup habite la jeune femme. Il regarde Isabelle, impuissant à avoir un vrai contact avec Raphaëlle. Isabelle se relève et prend sa fille contre elle. Elle sent son bébé se pelotonner contre elle et se mettre à pleurer. Marc hésite à sortir pour laisser les deux femmes seules ; c’est Isabelle qui, avec ...
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