L'Ami africain
Datte: 13/12/2020,
Catégories:
Anal
Partouze / Groupe
Sexe Interracial,
... C'est maintenant que je m'en aperçois…)Il m'écarte les jambes. Je suis sa douce prisonnière. Il me tient aux jambes, mon sexe et mon cul lui sont offerts, proposés. Il ne peut pas me refuser sa venue. Il doit me prendre… J'ai trop envie de lui. Par-là. Que fait-il ? Et s'il ne voulait plus de moi ?Il s'avance à genoux. Je lance ma main droite pour me saisir de son sexe. Mes doigts ne rejoignent pas mon pouce.. Je me demande une fraction de seconde ce que je vais en faire… Il se laisse manipuler. Le bout de son gland est trempé de secrétions. J'applique son gland contre ma rondelle et je sens sa queue qui palpite ma main. Je m'enduis de ses secrétions et applique son gland bien fort contre ma rondelle.- Laisse moi faire, lui dis-je.Je prends doucement son pieu et le dirige un peu plus fort entre mes fesses. J'ai l'intention de mener la danse. De m'enculer sur son gros machin tout en douceur, comme je le faisais avec Jean Je l'attire à moi, il se rapproche encore un peu. Je le sens docile. A bien y réfléchir, sodomiser une femme blanche de 15 ans son aînée et qui plus est sa prof de Fac, ça ne doit pas arriver tous les jours.Une sodomie, ça se mérite…Je le regarde dans les yeux pour lui monter ma docilité, parce que j'appréhende toute velléité de grands coups de reins, pour lui montrer enfin que je suis pour ce soir, sa femelle conquise. Que tout est pour lui. Que même si j'ai peur d'avoir mal, j'ai envie d'essayer…Malgré l'excitation de la folie que je suis en train de ...
... commettre, je tente de me calmer et de faire le vide en moi pour bien me décontracter. Peine perdue. Ses grosses mains viennent de s'emparer de mes seins et il en presse les bouts comme s'il voulait en faire sortir du lait. Ma main presse sa queue et l'intromission commence….Tout d'abord, le gland est si gros, que j'ai l'impression qu'il n'a aucun rapport de volume avec mon anus… Comme deux corps totalement étrangers qui n'ont aucune raison de s'emboîter. Je réussis, à tâtons, à présenter le bout de son gland sur le plus profond de mon cratère. Je pousse sur mon sphincter pour m'ouvrir et je sens la chaleur de sa queue contre ma muqueuse. La lubrification aidant, il glisse et entre en moi plus facilement que prévu. Le gland se décalotte et entre sans coup férir d'un seul trait. Je me sens me dilater de plus en plus… Je suis inquiète, je le regarde intensément, j'ai peur qu'il ne me fasse mal…Il s'arrête, s'enquiert de mon bien-être.- Ca va ? Je te fais pas trop mal ?- Non. Et j'espère que vas me faire du bien…Ma main droite s'est empare de mon clitoris qui ainsi fait monter encore plus la pression dans mon ventre.Le temps de laisser mon sphincter se dilater et je l'invite d'un clignement des yeux à reprendre sa longue marche. Il pousse, inexorablement, doucement, sans vraiment forcer, surveillant à la fois mon visage pour y lire d'éventuelles traces de douleur, et l'avancée de son pénis. C'est quand même différent sans capote… Ses mains se positionnent de part et d'autre de mes ...