Découverte du plaisir avec ma mère (5) - Histoires de Sexe

Découverte du plaisir avec ma mère (5)

... pousse, oui comme cela oui, c’est bien mon chéri, mon Dieu que tu es gros ! Nous informa Aurélie Voilà son gland disparu dans l’anus maintenant on arrivait au vif du sujet, millimètre par millimètre la bite de Bruno entrait dans le cul de maman. Celle-ci gémissait parfois de douleur, Bruno alors stoppait la progression. — Continue, mon chéri, ne t’inquiète pas je te sens bien tu me dilates comme je le pensais et j’aime cela, c’est bon encore continue doucement disait- elle à Bruno Celui-ci délicatement, concentré s’exécutait puis d’un coup il avança d’au moins deux centimètres, il s’arrêta de peur de faire mal à Aurélie sans doute. — Oui, c’est bon on a passé le portillon, j’ai l’impression que tu me découpes en deux, chéri. Cela fait mal mais de me sentir écartelée ainsi est terriblement bon, thomas regarde bien mon cul doit être bien distendu là, tu aimes voir cela mon amour ? nous dit-elle — Oui, j’avoue j’admire cela, c’est impressionnant, dis-je — Bruno, tu dois pouvoir y aller là, enfonce-toi, d’un bon coup, n’aie pas peur, défonce-moi le cul, oui !! Vas-y donna-t-elle comme ordre à Bruno Bruno se tendit, il prit une inspiration, je le vis faire puis d’un coup il poussa son ventre vers le cul d’Aurélie en la tenant par les hanches, il lâcha un grand soupir quand son ventre colla aux fesses d’Aurélie, celle-ci se mit à hurler de douleur sans doute, je ne voyais plus rien, Bruno ne bougeait plus il restait ainsi collé au cul d’aurélie. — Oui, gémissait Aurélie, oui on ...

... l’a fait, tu es dans mon cul, mon chéri, cela fait mal mais c’est terriblement bon de se sentir empalée ainsi, maintenant sors de mon cul puis enrobe ton sexe de vaseline pour le faire coulisser plus facilement mon Bruno Ce que fit Bruno je pouvais voir maintenant l’anus dilaté d’Aurélie, il était béant, énorme, pendant que Bruno se vaselinait, je prie mon téléphone et prit une photo de l’anus de maman. — Que fais-tu mon trésor ? me demanda-t-elle — Je photographie ton cul béant mon amour, lui dis-je — Tu es un vrai cochon pervers mon Bébé, tu me montreras mon trésor tout à l’heure — Oui mon amour tu verras c’est impressionnant, dis-je — Oui, je te crois amour, je l’ai bien senti quand Bruno me la mise en entier rétorqua-t-elle Bruno se remit en place, j’en profitais pour filmer sa pénétration, cela nous ferait des souvenirs pour Aurélie et moi plus tard. J’eus l’impression que Bruno entra plus facilement cette fois. — Oh ! La vache cela fait mal ! Mais c’est mieux, vas-y ne t’occupe pas de mes cris défonce moi, Bruno, défonce mon cul donne lui des coups de butoir avec ta bite. Oui ! Il coulisse mieux. Oui ! Continue, putain, c’est douloureux mais délicieux. OUI ! Continue, là c’est une vraie sodomie mon ange, je sens ta bite tu ne peux pas savoir, oui va plus vite... Maintenant Aurélie était ailleurs dans sa folie sexuelle, en transe, je ne transcrirais pas les mots, les cris qu’elle jetait en pâture à Bruno qui pour sa part, je le voyais activa l’enculade d’Aurélie et c’était ...