1. Pris la main dans le bac (2)


    Datte: 14/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... pour poser ses mains sur mon corps. Gestes déplacés qui m’ont valu une érection dans la seconde qui suivait, pour la première fois de ma vie je me retrouvais avec deux mains féminines différentes sur mon sexe. Catherine m’a expliqué que Geneviève était dans le même cas qu’elle à savoir que son mari était très peu présent en France chaque année. La contrepartie c’est que leur femme n’était pas dans le besoin bien au contraire. J’apprenais maintenant que j’allais devoir être la soumise de ces deux femmes et surtout pour mon plus grand plaisir l’étalon pour ses 2 femmes. Catherine a invité son amie à aller s’asseoir dans le canapé, elle m’a pris par la main pour venir m’agenouiller entre ses jambes. Geneviève était une grande et belle femme sans doute un peu plus d’un mètre 80 pour 75 ou 80 kg et à peu près le même âge que Catherine. Elle était toujours habillée de façon élégante, je me souviens qu’à chaque fois que je la voyais au boulot elle était toujours d’une grande élégance; malgré son âge, nombreux étaient les hommes qui se retournaient sur elle. Là j’avais le privilège de pouvoir m’occuper d’elle et lui donner du plaisir sur les consignes de son amie. Geneviève se parfumait avec Angel, ce parfum me montait à la tête, il m’enivrait, il me donnait envie de lui sauter dessus mais il fallait que je résiste à la tentation. Sous cette robe j’avais maintenant vue sur une magnifique paire de bas tenus par un porte-jarretelles satiné ainsi qu’une culotte d’une grande douceur ...
    ... manifestement. Si j’avais su un jour que cette cliente qui me troublait à chaque fois que je la voyais au boulot serait là, jambes écartées devant moi en attendant que je lui fasse du bien. C’est Geneviève qui a pris possession de ma tête pour aller la coller contre sa culotte déjà toute humide. Elle sentait la femme distinguée, elle sentait aussi la femme désireuse. Malgré ces deux décennies d’écart, Geneviève me faisait rêver à chaque fois que je la voyais. J’ai commencé à déposer la langue sur le tissu qui me séparait de son minou. Il n’y a pas à dire sa cyprine avait très bon goût et sentait très très bon, c’est ainsi que je me suis mis à lécher sa petite culotte qui était imbibée du jus de son minou. Plus je broute des minous et plus je me dis qu’il n’y a pas meilleur nectar au monde. J’en avais sur le menton la bouche la moustache le nez; je n’ose imaginer dans quel état je vais être quand elle va retirer sa culotte. Finalement c’est moi qui ai eu l’honneur de la débarrasser de cette fine pièce de tissu tellement douce et odorante. Avant de repartir plonger me délecter de ce fruit défendu j’ai pris la culotte pour la renifler, il n’y avait pas d’autre terme car c’était le côté animal qui se faisait plaisir en respirant ces odeurs. Geneviève ne m’a pas laissé beaucoup de temps pour savourer sa culotte, elle m’a ressaisi la tête pour me la coller bien dans son minou tout juteux. Maintenant j’étais en train de me délecter avec ma langue, cette dernière partait du haut de son ...