Krystina
Datte: 21/10/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
hotel,
caférestau,
voyage,
volupté,
BDSM / Fétichisme
pied,
Oral
pénétratio,
fsodo,
L’automne dernier, un déplacement professionnel m’a conduit à Prague, la Ville Dorée. J’avais réservé un hôtel très central dans Old Town, sur les bords de la Moldau. Le tchèque n’est pas une langue évidente à saisir et j’avais besoin d’un interprète lors de mes réunions dans les instances officielles. Le cabinet de consultants m’a proposé Krystina. Elle s’est présentée le soir vers 19 heures à l’hôtel et m’attendait dans le lobby. C’était une très belle slave de 24 ans, blonde, élancée de presque 1,80 m, vêtue d’un tailleur blanc moulant. Une écharpe de laine blanche lui ceignait le cou et les épaules. Une surface non revêtue laissait toutefois entrevoir le haut d’une poitrine sublime au teint halé. On m’avait prévenu que beaucoup de filles ressemblaient à Adriana, notre secouriste nationale… j’étais subjugué, elle me faisait déjà bander. Je lui proposai de dîner au restaurant de l’hôtel, ce qu’elle accepta volontiers. Krystina était parfaitement bilingue avec une pointe d’accent slave. Nous nous installâmes à une table revêtue d’une nappe d’un blanc immaculé aux bords tombants. Le maître d’hôtel vint nous souhaiter la bienvenue et allumer les bougies d’un chandelier en étain. Peut-être avait-il aussi allumé la flamme entre Krystina et moi… Nous avons dîné en échangeant sur les us et coutumes respectifs de nos deux pays, et tout naturellement la conversation a dérivé vers des sujets plus intimes : la pratique du « french kiss », les habitudes des Françaises, ce qu’elles ...
... apprécient, etc. Nous dégustions un plat local au nom imprononçable, arrosé d’un tokay. Je répondais du mieux possible à ses questions très directes, non sans ressentir une certaine timidité. Je rougissais : le vin peut-être, Krystina sûrement. Tout en m’écoutant avec attention lui raconter qu’en France il était normal qu’un couple aille ensemble choisir une parure de lingerie, je remarquai qu’elle frottait lascivement le goulot de la bouteille de la pince que faisaient son pouce et son index, traduisant par-là, sans s’en rendre compte, ses pensées lubriques. J’étais troublé et me perdis dans mes explications, mélangeant mes propos. Elle sourit et je sentis, sous la nappe, un pied nu frotter mon mollet. Elle me regarda dans les yeux et pris ma main, je ne dis rien. Les vacillations de la bougie tiraient des ombres qui se prolongeaient dans son décolleté, donnant l’impression que sa poitrine remuait. Son pied monta et toucha mon entrejambe. Je sentis très nettement l’orteil détaché des autres doigts entamer une douce masturbation au travers de l’étoffe. De l’index de sa main droite aux ongles artistiquement vernis et ornés de petits dessins, elle griffa la nappe, accompagnant ce geste d’un clin d’œil. Je compris par-là que je devais me déboutonner… puis reposai ma main sur la sienne en lui transmettant par télépathie un « vas-y ». Le serveur nous demanda si tout allait pour le mieux. Je ne pouvais naturellement qu’acquiescer. Il nous souhaita encore un bon appétit et une bonne fin ...