1. Isabelle Ou Esclave N°38


    Datte: 14/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... est capable d'arracher des cris à une chair bien tendre. Madame la Baronne fit un signe et aussitôt les deux hommes s'occupèrent d'Isabelle, la placèrent sur la croix et immobilisèrent ses poignets et ses chevilles à l'aide de sangles de cuir. Ils lui placèrent alors un bandeau sur les yeux, et des pinces sur les tétons, et commencèrent à jouer avec son clitoris qu'ils firent saillir un peu plus, et finirent par poser dessus une pince dentelée qui arracha à Isabelle un cri de douleur, tandis qu'elle essayait de se débattre. Pendant ce temps, la Baronne fixa des patchs sur sa poitrine qu'elle relia à un appareil de contrôle. Puis une des hommes enduisit un long et large gode de métal, et le présenta devant la vulve d'Isabelle. Celle-ci sembla résister. L'homme poussa violemment le gode d'un coup sec, et tout le gode pénétra le sexe d'Isabelle, accompagné d'un hurlement des plus gratifiants. Maîtresse Agnès donna un second gode lubrifié et l'homme le présenta sur l'anus d'Isabelle, qui apparemment comprit et laissa le long cylindre l'envahir petit à petit, mais irrémédiablement. Bientôt les 20 centimètres de métal disparurent dans son fondement. L'homme retira alors la partie centrale et la pointe, laissant dans le cul d'Isabelle juste un tube creux, et ...
    ... apporta alors la ceinture pour les maintenir en place. Maîtresse Agnès arriva alors avec un masque contenant un long tube qu'elle présenta devant la bouche d'Isabelle, et lui fit signe d'ouvrir la bouche et de prendre le petit gode en latex, ce qu'elle fit. Elle posa le masque qui couvrit la tête d'Isabelle. Maîtresse Agnès arriva alors avec un faisceau de câbles qu''elle commença à connecter aux deux godes, à la pince du clitoris, et aux deux tétons. Puis elle brancha le faisceau à l'appareil de contrôle. Maîtresse Agnès appuya sur le clavier, et de suite un hurlement strident se fit entendre. Le corps d'Isabelle se trémoussait sur la croix. Des impulsions électriques traversaient son corps. Aléatoirement, ses seins, sa vulve ou son cul recevaient des impulsions qui tétanisaient ses muscles. «C'est parti pour une heure. Bon courage 38. » Maîtresse Agnès et ses deux sbires quittèrent la salle et laissèrent leur esclave. Au bout d'une heure, Maitresse Agnès apparut et vit alors le corps de son esclave trempée de sueur, sursautant à chaque décharge, les yeux exorbités. La Baronne appuya sur le bouton stop de son clavier et les impulsions s'arrêtèrent. Isabelle n'en pouvait plus. Les sbires de la Baronne détachèrent Isabelle et la ramenèrent à sa cellule. 
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