Le fantôme de mon cœur
Datte: 15/12/2020,
Catégories:
f,
fh,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
attache,
fouetfesse,
délire,
merveilleu,
fantastiq,
amourpass,
... doigts qui furètent désormais dans ma chatte sont en train de m’emmener, une fois de plus, vers le septième ciel. Trois doigts coulissent désormais en moi, dans un florilège de bruits mouillés à faire pâlir la plus délurée des hardeuses ; cela devrait plutôt me faire honte et pourtant, tout au contraire, cela m’excite… Circonstance aggravante : s’il avait commencé à me doigter avec une certaine délicatesse, les allers et venues de ses doigts tout au fond de mon ventre se font désormais avec la douceur d’un marteau-pilon. Cette fois, je n’y tiens plus. Le raz-de-marée m’engloutit, je suis tel le fétu de paille emporté par une vague de jouissance qui me semble ne jamais devoir finir. Surtout, ne pas ouvrir les yeux… Mais cela ne m’empêche pas d’entendre ce qu’il me dit. — Purée, vous êtes exactement comme Either… Quatre cents ans pour en arriver là… Je me blottis dans ses bras. Mais bordel, qu’est-ce qui m’arrive ? Ce type vient de m’en coller deux comme je n’en ai sans doute jamais reçues, il vient de me branler comme l’on n’oserait pas le faire avec la dernière des putes… Et moi, tout ce que je trouve à faire, c’est me précipiter dans ses bras et poser ma tête contre sa poitrine !« Décidément, cela ne va pas mieux, cocotte… » Ah ben tiens, il n’y a pas que moi qui ne vais pas fort… Là, le long de ma joue, quelque chose que je reconnais instantanément, d’autant que le goût est aisément reconnaissable : des larmes. Mais ce ne sont pas les miennes. — Parlez-moi d’Either, Mac ...
... Hillian. Comment se fait-il qu’au bout d’autant de temps, vous l’ayez encore à ce point dans la peau ?— Je ne sais pas… Elle était si pure, si adorable, si divinement belle… J’aimais tout d’elle : son délicat parfum de fleurs d’oranger, sa peau de satin, ses yeux de braise et son corps de déesse… Et vous, Jennifer, vous êtes si semblable et en même temps si différente d’Either…— Ne pleurez plus, Mac Hillian, je suis là… Encore une fois, je ne sais pas ce qui me passe par la tête… En ne me guidant qu’au toucher, je m’agenouille devant lui et glisse ma tête sous le kilt que je vois d’autant moins que j’ai les yeux fermés. Apparemment, la coutume dit vrai : son sexe est libre et il ne tarde pas à se redresser au contact de ma langue… Tandis qu’il ne cesse de durcir sous mes caresses, la taille de l’objet devient de plus en plus évidente. Oserais-je dire que Mac Hillian est sacrément bien monté ? L’envie de le faire languir comme il me l’a fait quelques minutes plus tôt me traverse aussitôt l’esprit, mais je n’en ai pas le temps. Sans dire un mot, il m’attrape par les épaules, me redresse, et le temps de comprendre, je me retrouve allongée sur le lit. Un genou force mes jambes, deux mains puissantes me maintiennent fermement, et je n’ai ni l’envie ni la force de m’y opposer. Nue, totalement offerte, Mac Hillian m’embroche alors avec une vigueur insoupçonnable et commence à me ramoner comme si sa vie en dépendait. Enfin, c’est une expression, puisqu’il est censé être déjà mort depuis ...