1. Le fantôme de mon cœur


    Datte: 15/12/2020, Catégories: f, fh, Oral pénétratio, fsodo, jeu, attache, fouetfesse, délire, merveilleu, fantastiq, amourpass,

    ... les voit. Et quand je me retrouve nue, il continue de profiter du spectacle – dont la réciproque m’est interdite – en me prenant par la main pour mieux me faire tourner devant lui. — Vous êtes ravissante… Je le savais, mais je tenais à vous le redire.— Merci… Je suis belle comme l’était Either ?— Plus encore, et ce n’est pas peu dire… Cela dit, je crois que vous devriez mieux choisir vos fréquentations.— Ah bon ? Pourquoi ?— Parce qu’il y a encore la marque de cinq doigts sur votre divin postérieur. Celui qui vous a fait cela est un monstre…— Mais ce monstre sait très bien qu’il pourra le refaire à peu près aussi souvent qu’il le voudra. Enfin, pas tout de suite, tout de même… Pour faire bonne mesure, je m’agenouille sur le lit. Même si j’ai les yeux fermés, j’ai une idée extrêmement précise du spectacle que je lui offre dans le miroir, cambrée à l’extrême et le cul offert. Normalement, il doit avoir une vue imprenable sur mon sexe humide, mais plus encore sur ma rosette. Et moi, justement, je sais ce que je veux. Je commence à le sucer. Ce n’est pas la première fois que je le prends dans ma bouche, mais la taille de l’objet continue de me surprendre. Non, ce n’est pas un de ces démonte-pneus comme l’on en voit dans les films, mais c’est tout de même ce que l’on peut appeler une grosse queue. Elle est délicieusement raide, et je m’applique à faire courir le bout de ma langue sur la moindre parcelle de cet impressionnant morceau de chair que je sais dressé pour moi. ...
    ... L’engloutir. L’engloutir au fond de moi. Aller jusqu’au bout du bout du bout, c’est mon plus cher désir. Alors, malgré pas mal de renvois et des litres de salive qui dégoulinent, je parviens enfin à me l’enfoncer jusqu’à la garde. Le contact de sa queue tout au fond de ma gorge est un délice… Et qu’importent mes haut-le-cœur ; je veux le garder en moi le plus longtemps possible. À bout de souffle, le cœur au bord de l’explosion, je me retire ; mais ce n’est que pour mieux l’engloutir de nouveau. Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? Jamais je n’ai eu à ce point envie de donner du plaisir à un homme. Jamais un type ne m’a donné envie d’aller aussi loin, et je sais que je serais capable d’accepter à peu près n’importe quoi s’il me le demandait. Pourtant, là, tout de suite, alors que sa main caresse doucement mes fesses, elle vient de passer à l’endroit précis où doivent encore se trouver les marques de la claque qu’il m’a donnée lorsque je suis revenue d’aller voir ce sacré professeur. Ça me brûle, ça me lance, et pourtant je n’ai absolument pas envie d’arrêter de le sucer, quoi qu’il me coûte. Mieux même, s’il recommençait, je crois que j’en réclamerais… Mais qui est ce type pour me faire un tel effet ? Déjà, je dis « un type », et ce n’en est même pas un. C’est un esprit, un fantôme qui, d’ici deux jours, sera définitivement retourné dans son monde et me quittera pour toujours. J’essaie de balayer cette pensée d’un revers de la main, et quoi de mieux que d’enfoncer sa queue dans ma gorge ...
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