Le fantôme de mon cœur
Datte: 15/12/2020,
Catégories:
f,
fh,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
attache,
fouetfesse,
délire,
merveilleu,
fantastiq,
amourpass,
... s’approcher de moi. « Argghhh ! Oh le salaud ! » Il vient, une fois de plus, de me claquer le cul ; quelque chose me dit qu’une main va désormais être marquée sur chacune de mes fesses. Mais tout cela ne serait rien si, profitant de ma douleur et de ma distraction, il ne venait pas de s’enfoncer d’un trait dans mon rectum. Des étoiles ? Vous avez dit des étoiles ? Non, je n’ai pas vu d’étoiles… Par contre, j’ai vu trente-six chandelles quand j’ai bien cru qu’il allait me déchirer l’anus. L’ennui, c’est qu’une fois de plus, j’ai mal, mais je ne laisserais ma place pour rien au monde… Si, tout à l’heure, j’avais l’impression de me faire défoncer par un marteau-pilon, je crois bien que cette fois, ce doit être un troupeau de bisons qui me ravage l’arrière-train ! Cela résonne jusqu’au tréfonds de mon âme… Mais cela n’empêche pas la jouissance de se profiler à grands pas. Cette fois, elle ne me cueille pas par surprise ; mais le fait de m’y être mentalement préparée ne l’empêche pas de m’emporter tel le fétu de paille sur l’océan… Et quand je reviens à moi, c’est pour me rendre compte que Mac Hillian est en train de déverser des litres et des litres de foutre sur mon cul rebondi. Bon, des litres, peut-être pas, mais largement assez pour me donner envie d’en récupérer un maximum entre mes doigts et de les lécher encore et encore… ---oooOooo--- La nuit a été calme, mais il me faut dormir, de temps en temps. C’est la voix douce et chaude de Mac Hillian qui me tire des bras de ...
... Morphée. — Vous êtes belle quand vous dormez, Jennifer. Vous l’êtes aussi quand vous ne dormez pas, mais cela, vous le savez déjà.— Merci… Je l’entends soupirer. — Quelque chose ne va pas ?— Oui ; enfin, peut-être. Si l’on veut. Je me redresse et, une fois de plus, je ferme les yeux. C’est la seule méthode que j’ai pour pouvoir prendre sa main, mais cela me permet aussi de me rendre compte qu’il est à deux doigts de verser une larme. Je le prends dans mes bras. — Ne soyez pas triste. Oui, ce soir, c’est la pleine lune ; mais je vous rappelle que cela fait quatre cents ans que vous attendez d’aller rejoindre votre Either. Il nous reste toute une journée pour profiter l’un de l’autre. Soudain, je réalise. Depuis le début, je sais que tout cela ne nous mènera à rien, mais cela ne m’empêche pas d’avoir le cœur serré. Comment disent-ils, les sages ?Carpe diem ? Profite de l’instant ? Je m’efforce de me raccrocher à ce proverbe. Pour les pleurs, on attendra minuit passé. — La météo semble clémente, Mac Hillian. Cela vous dirait d’aller vous promener en voiture ? Nous ne sommes pas en ville : les environs n’ont pas dû beaucoup changer…— Pourquoi pas, répond-t-il d’une voix triste. J’essaie de le détendre. — Et une petite fessée en plein air, cela ne vous dit pas ?— Ah, vu sous cet angle… Vous êtes certaine que vous en avez envie ? « Si j’en ai envie ? » J’avais dit ça sur le ton de la plaisanterie, mais mon ventre vient de nouveau de se tordre.« Oui, j’en ai envie… Il va vraiment falloir ...