Le fantôme de mon cœur
Datte: 15/12/2020,
Catégories:
f,
fh,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
attache,
fouetfesse,
délire,
merveilleu,
fantastiq,
amourpass,
... réfléchis quelques minutes, minutes pendant lesquelles je ne peux m’empêcher d’aller me blottir dans ses bras. Des milliers d’idées tourbillonnent dans ma tête, jusqu’à ce que je brise le silence. — Admettons que je sois d’accord…— D’accord… Heu… Pour quoi ?— Pour votre petit jeu, là. Que me feriez-vous ? Il sourit. — Disons que c’est un peu compliqué, que cela ne se fait jamais du jour au lendemain. Mais disons que j’aimerais beaucoup vous voir vous tordre sous le cuir d’une cravache ou sous les allers et retours d’un martinet.— Cravache ? Martinet ? Mais ce n’est pas un peu cruel, ça ?— Un peu, mais sans plus. Cela dit, je lis dans vos yeux que cela vous terrifie mais que vous mourrez d’envie d’essayer un jour… Je bondis. — Mais c’est hors de question ! Je le sens s’approcher de moi, et sa main s’infiltre sans douceur entre mes jambes. — L’ennui, ma chère Jennifer, c’est que vous mouillez à cette évocation… Votre esprit dit non, mais votre corps dit oui. Je fulmine intérieurement.« Salaud ! Salaud ! Salaud ! Mac Hillian, vous êtes un salaud ! Et le fait que ce que vous annoncez soit rigoureusement incontestable ne vous rend pas moins salaud ! » Il reprend, mais le ton de sa voix me semble soudain nettement plus grave. — Jennifer, demain, à cette heure-ci, je serai parti. Rien que cette évocation me serre le cœur. — Et je voudrais que vous fassiez quelque chose pour moi.— Ah ? Et quoi donc, s’il vous plaît ?— Que vous preniez l’argent des souterrains pour racheter le ...
... château. Il y en a au moins deux cent cinquante kilos ; cela devrait suffire.— Racheter le château ? Mais pour quoi faire ?— Pour deux raisons : d’abord, sauver ce château en lui-même. Il y a largement assez d’or pour restaurer toutes les parties qui ne sont pas ouvertes au public ; je pense notamment à la bibliothèque. Je hausse les épaules. — Et la seconde raison ?— Pour vous mettre à l’abri du besoin pour le restant de vos jours, Jennifer. Je crois que je vous dois bien ça. Un flot de larmes envahit mes yeux. — Ne pleurez pas, Jennifer. Ou alors, je vais vous faire pleurer pour une bonne raison… Je n’ai pas le temps de réagir que je me retrouve en travers de ses genoux, le cul à l’air. Les coups pleuvent, pleuvent et pleuvent encore, avec une force et une régularité insoupçonnables. J’ai mal, je crie, je le supplie d’arrêter, mais rien n’y fait ; le déluge continue sur la partie la plus charnue de mon anatomie. Il n’arrête pas, et pour cause… Cette fois, il ne me tient pas par les poignets ; je suis totalement libre de mes mouvements. Et pourtant, même si la douleur est intense, je n’ai pas envie qu’il renonce. Ah, enfin, de douces caresses viennent remplacer les coups sur mon cul endolori. Mais je connais désormais Mac Hillian : avec lui, c’est sans doute le calme avant la tempête… Tiens, il me semble qu’il s’intéresse vraiment beaucoup à ma petite chatte, pourtant bien assez détrempée comme cela. D’ailleurs, à mon avis, s’il me fourrait sa queue, là, comme ça, je ne suis même ...