Journal d'un Escort Boy (1)
Datte: 16/12/2020,
Catégories:
Hétéro
... en insistant sur le ’E’. Je commençai à voir où elle voulait en venir. ’Et donc vous cherchez des escorts hommes.’ ’Exactement ! Et je me demandais si ça pouvait vous intéresser.’ Je restai muet un instant. C’était inattendu. ’Dans le fond’, reprit-elle, ’ça ne change pas beaucoup de vos sorties actuelles. Sauf que vous n’avez pas à draguer les clientes et que vous êtes rémunéré.’ ’Où est le piège ?’ ’Il n’y en a pas. Ce travail ne vous empêche pas de poursuivre vos études sereinement, et même en travaillant que quelques nuits par mois, il vous rapportera un joli pactole.’ ’Combien ?’ demandai-je. ’Ça dépend du contenu de la prestation, mais pas moins de 500 euros. Moins mes 30 pourcent de commission, bien entendu.’ Je ne fis même pas l’effort de faire le calcul. ’Ça pourrait m’intéresser’, dis-je finalement. ’Bien. Avant de parler des détails, il y a une sorte de test.’ ’De test ?’ ’Oui. J’ai eu quelques échos de Sonia sur vos qualités, et, de ce que j’ai entendu hier et par le contenu de cette conversation, je n’ai pas de doute sur la partie dialogue de notre métier. Mais je dois, comment dire, vérifier la marchandise moi-même.’ ’ Ça me paraît correct. Comment voulez vous procéder ?’ Elle se recula dans son fauteuil avant de répondre. ’Levez vous et déshabillez vous pour commencer.’ Je me levai et commençai à déboutonner ma chemise, sans trop savoir si elle voulait un strip-tease aguicheur. Cette hésitation devait se voir sur mon visage car elle reprit la parole. ’Allez à ...
... l’essentiel, nous parlerons de vos aptitudes au strip-tease une autre fois.’ J’acquiesçai et enlevai rapidement ma chemise. J’ôtai mes mocassins avant me débarrasser de mon pantalon. J’hésitai un instant, en boxer et chaussettes. ’Nu, s’il vous plaît’, m’encouragea Madame N. Je m’exécutai rapidement, les chaussettes d’abord, n’ayant pas envie d’être nu en chaussettes, puis mon caleçon. La situation, et Madame N. elle-même, m’excitait, aussi ma bite était-elle déjà grosse. ’Joli’, statua Madame N. avec un regard appréciateur. Elle se leva et me tourna autour, avec un regard d’experte, comme si elle inspectait une voiture avant de la louer. Elle s’approcha ensuite et me caressa le visage, puis le torse. Je me laissais faire, ce qui sembla lui plaire. Elle finit par s’intéresser à ma bite et la prit en main, ce qui la raidit instantanément. Elle me branla doucement deux/trois fois pour voir comment je réagissait puis la lâcha. ’Pouvez vous vous pencher ?’ me demanda-elle. ’Prenez appui sur le bureau, j’aimerais voir vos fesses et votre anus.’ J’hésitai un instant. ’Je ne vais rien lui faire, rassurez vous. Je veux juste le voir.’ Je finis par obtempérez, bien que légèrement stressé. Elle me caressa les fesses, puis passa un doigt sur la raie de mon cul et mon anus. Elle descendit jusqu’à mes couilles, qu’elle caressa légèrement. ’Bien, vous pouvez vous relever.’ Lorsque ce fut fait, elle regarda ma bite, qui était toujours raidie. ’J’aimerais la goûter’, me dit-elle finalement. ...