Les tourments de Julie et Carine (10)
Datte: 16/12/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Dimanche Carine, Julie et David sont tranquillement installés sur la terrasse entrain de prendre le petit déjeuner. Vu l’heure qu’il est, plus de quatorze heures, ce petit déjeuner servira aussi de dîner. Julie grimace, son sexe est irrité du traitement infligé hier soir, mais elle est heureuse. Elle ne s’attendait pas à passer toute la soirée à être empalée comme cela, encore une idée de David. Eva arrive. Personne ne l’a entendu. Elle dit bonjour et s’assoit. Elle est en pyjama de soie. Maude la suit, nue, les fesses bien rouges, les larmes aux yeux. Comme promis, Eva la fessait juste au réveil. — Bon, grosse vache, tu peux retourner chez toi. J’ai ton numéro et je sais où tu habites, je passerai te voir quand je serais en vacances dit Eva. — Bien, maîtresse Eva. J’y vais ainsi ? — Bien sur, grosse vache, tu y vas à poil et tu passes par la route. Maude s’en va, faisant attention en marchant sur les graviers, le cul rouge. Maude est matée. Eva commence: — Elle était géniale, cette soirée. J’espère que cela vous a convenu — Oui, cela était trop bien. De ma chaise je voyais tout. Je voyais David qui se tenait à l’écart, tel un seigneur regardant son cheptel. Je sentais qu’il dominait tout son monde, dit Julie. — Moi, j’étais très bien. Mais, vous le savez, je suis toujours bien, quand Monsieur est là. — Même la grosse vache a aimé. Elle me l’a dit pendant que je prenais ma douche. Elle me servait de bonniche. Je me suis amusée à passer ma main sur sa chatte, elle était ...
... trempée. Je lui ai dit qu’elle avait l’air d’apprécier. Elle m’a répondu qu’elle n’avait jamais été aussi bien. C’est elle qui m’a donné son numéro de téléphone. Bon, elle ne va pas pouvoir s’asseoir pendant un certain temps, elle a des bleus sur son cul et comme je n’y ai pas été de main-morte ce matin, cela ne va pas arranger les choses. David ne dit rien, il laisse les filles discuter. Machinalement, il a posé sa main sur la cuisse de Carine. Eva continue — Je lui ai demandé d’apporter mon rosebud. Ce qu’elle a fait, bien entendu. Pendant que je le mettais, je me disais que ce serait bien qu’elle ait quelque chose, pas un rosebud, ça c’est réserver. Je ne sais pas quoi, par contre. As-tu une idée, David, tu ne dis rien? — Je vous écoute, vous êtes bien bavardes. — C’est que franchement, dit Julie, je ne pensais passer une aussi bonne soirée, même si ma chatte est un peu irritée. Je tenais à vous remercier Carine se tait, elle a juste écarté ses cuisses. — je vous ai bien écouté, pour Maude, si tu veux lui faire un cadeau, offre-lui un collier. Un collier en acier et assez large, qui soit bien visible. Cela ne passera pas inaperçu. Et, je la connais, cela lui plaira beaucoup. — C’est une idée. Quand je viendrai, je lui apporterai ce cadeau. — Oui, on doit se sentir vraiment esclave quand on a ce genre de collier, dit Carine — Tu aimerais avoir ce genre de collier, demande Eva — Si c’est Monsieur qui me l’offre, ho oui, vraiment. — Bien, ce n’est pas tomber dans l’oreille d’un ...