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Le plaisir à la chinoise (1)
Datte: 16/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... sort, emportant mes vêtements. Les deux filles de tout à l’heure entrent vêtues, si l’on peut dire, elles aussi de peignoir en satin blanc, et aussitôt notre pièce monte d’un étage. J’ai juste le temps d’admirer la plastique de mes deux compagnes. Toutes les deux semblent dotées de jolies petits culs, des jambes fines, des yeux à vous dévorer un européen. Elles ont les deux tailles de seins que j’adore, ceux que l’on prend avec difficulté dans ses mains (pourtant les miennes sont grandes) et ceux qui sont à peine bombés et dont le téton est presque le seul relief. Notre pièce arrive à l’étage supérieur. Autour de nous, pas un mur, mais huit grands miroirs. Nos images se multiplient à l’infini. Les peignoir des filles tombent, elles tournent sur elles-mêmes pour mieux me montrer à quel point j’ai de la chance! Très fines, très brunes (des chinoises bien sûr), un ventre plat, une jolie cambrure pour un petit cul rond mais sans un gramme de trop un ventre plat. L’une parfaitement épilée, l’autre porte une légère ombre sur son pubis triangulaire. Je vais me régaler... mais pourquoi toutes ces glaces!! Cela m’excite déjà de voir ces deux filles multipliées à l’infini, mais je suppose que ce n’est pas le but. Elles m’allongent sur le lit, sur le dos et commencent à me caresser le torse à quatre mains. L’une d’elles plonge sous le lit et en retire des cordages dont je comprends immédiatement l’emploi, puisque l’autre écarte doucement mes membres. J’ai un mouvement de refus, mais un ...
... sourire me convainc que je ne le regretterai pas, et surtout je sais que si je pars maintenant, je le regretterai toute ma vie. Elles passent donc les liens à mes poignets et mes chevilles et je suis écartelé, sans douleur mais fermement sur le lit. Le lit bascule un peu et la glace face à moi disparaît, ou plutôt c’est une pièce derrière le miroir qui s’éclaire et me montre qu’un vieux chinois est là, assis, habillé avec une jeune prostituée nue. La pièce disparaît dans la pénombre, le miroir réapparaît, mon lit tourne un peu sur la droite, le second miroir disparaît, un autre couple apparaît. Huit miroirs, huit pièces, huit clients prospères à en juger par leurs vêtements, je comprends qui paie, je comprends quel est mon rôle, celui d’un blanc venu pour exciter ces voyeurs. Parmi ces clients une dame d’un certain âge comme on dit pour être polie qui tient déjà dans sa main le pénis gonflé d’un très jeune homme, un chinois assez jeune, entouré de trois jeunes hommes nus, dont un, déjà à genoux le suce profondément, un homme nu, attaché dans un fauteuil et deux filles en lingerie cuir qui tiennent des martinets. gxdgvvku Tout ce petit monde m’attendait!! Quand tous les miroirs sont réapparues mes deux compagnes montent sur le lit qui est redevenu horizontal, et commencent un ballet à deux bouches, quatre mains, deux chattes et deux anus. Après de savantes caresses qui ont ranimé ma queue, elles grimpent, chacune à leur tour sur moi, pour s’asseoir sur ma queue ou mon visage. ...