Maitre et petite lopette (1)
Datte: 17/12/2020,
Catégories:
Transexuels
Depuis mes premières expériences j’ai pris du galon comme on dit et j’avais décidé de me faire baiser par un routier, ou plusieurs si possible, je me sentais assez sexy pour aller draguer sur les aires de repos connus du coin, c’était un bon soir d’automne comme je les aime, encore tiède mais sombre, je profitais de cette période pour aller régulièrement m’exhiber sur les ponts d’autoroutes et autre car la nuit tombait assez rapidement cela permettait une relative discrétion mais cette nuit là, j’avais décidé d’aller plus loin Nous étions donc fin octobre, la température encore clémente me permettait de pouvoir être sexy, sans avoir à me geler, je partis donc de chez moi vers 18h, prétextant à mes parents une soirée avec des amis, je portais déjà sous mon jeans, des collants chairs brillants et un body noir brillant en similicuir volé à une amie à moi, j’avais prévu de mettre mes talons rouges vifs et un coup de maquillage, pas besoin de perruque, je veux qu’on sache que je suis un mec quand même. Je prenais la route tout excité, j’avais choisi ma destination, l’aire d’autoroute des routiers, je sais pas pourquoi, mais je fantasme sur les routiers depuis que je suis jeune, j’avais vu un film où une femme était enlevée par des routiers, séquestrée et inconsciemment j’ai peut-être voulu m’identifier à cette dame, mais bref, toujours est-il que je suis en route et j’ai faim de sexe, je n’avais pas eu de plans depuis des mois et je commençais à me dire que j’allais devoir ...
... réchauffer un vieux plat en rappelant un ex. 45minutes de route plus tard, j’arrivais sur place, il n’y avait pas trop de monde, tant mieux, j’aime être la seule, le centre de l’attention, le soleil était déjà couché, je décidais de me lancer, j’enlevais le jeans, les baskets, le pull, un petit coup de rouge à lèvres, mascara, un poil de poudre, j’enfilais mes talons et sortais de ma voiture, sur de moi, ma préparation avait du prendre plus de temps que prévu car le parking s’était rempli et la quarantaine de place qu’il continent étaient maintenant remplies facilement au deux tiers, j’étais ravi, je trouverais surement chaussure à mon pied ici, je commençais à déambuler parmi les files de camions, quelques regards au début, j’attendais qu’ils fassent le premier pas, pas un mot, je continuais donc à marcher et arrivais aux toilettes, d’où j’entendais plusieurs voix, prenant mon courage à deux mains, je poussais le portillon et pénétrais les toilettes des hommes, à mon entrée, plus un bruit, mais 4 hommes se tenaient là, devant moi, deux devant les toilettes, un autre au séchoir et l’autre juste à coté de moi, je restais bête en attendant un mot, quand soudain l’un d’eux pris la parole et ce n’était pas un des quatre : -Oh les gars !? Ca va ? dit une voix qui venait des toilettes fermées, la chasse tirée, la porte s’ouvrit et un homme en sortit, il était plus vieux que les autres, plus vilain aussi, plus amoché par la vie, mais il dégageait un truc qui me plaisait, il jeta un regard ...