On a couché avec Erika de Xstory (2)
Datte: 17/12/2020,
Catégories:
Lesbienne
Toujours grisées, nous avions toutes les trois continué à nous raconter quelques petits fantasmes plus ou moins excitants lorsque je commençai à faire le premier pas vers Erika en lui caressant doucement les épaules et la base de la nuque, juste avec les extrémités de mon majeur et de mon index. — Tu sais, ma douce, depuis tout à l’heure on se raconte nos petites histoires intimes, et j’ai cru lire dans certains magazines que de plus en plus de femmes ont pour fantasme de vivre une expérience lesbienne... Et toi, en fais-tu partie ? l’interrogeai-je en murmurant, souriante, tout en jetant alternativement des regards lubriques entre elle et ma bien-aimée. — Ouh là ! s’exclama soudainement Erika, rougissante, en baissant les yeux et en affichant un petit sourire timide, visiblement surprise par ma question. — Tu peux nous le dire, tu sais… On est entre nous, et ça ne sortira jamais de cette pièce ; fais-nous confiance ! l’encouragea ma chérie en posant doucement les doigts de sa main libre sur l’une des jambes de notre invitée et en commençant à la caresser de bas en haut. Erika ne répondit pas, mais elle commença à rougir. Cette réaction était-elle due à de sa timidité ou à une autre cause ? Mon intuition féminine m’indiqua que l’on tenait le bon bout. — Hmmmmm... T’aimerais essayer, je me trompe ? lui demandai-je, amusée et sûre de mon coup. — Je... euh... ben... enfin, euuuh... répondit-elle avec peine, cherchant sûrement une réponse correcte – mais en vain – à nous donner ...
... avant de déglutir bruyamment, alors que son visage s’empourprait de plus en plus. Remarquant qu’elle frissonnait, je l’interrogeai-je à nouveau, faisant mine de m’inquiéter : — Tu m’as l’air d’être troublée, Erika. Quelque chose ne va pas ? Tu sais, à notre époque, il n’y a aucune honte à l’avouer ; surtout que nous, les femmes, entre nous, on est toujours plus douces, plus sensuelles, plus câlines... Nous aimons beaucoup prendre notre temps ; et comme on le dit, « Plus c’est long, meilleur c’est ! » affirmai-je en lui prenant délicatement la main après lui avoir caressé le bras. — Elle a tout à fait raison ! approuva ma chérie. Sans parler du feeling, un peu comme maintenant. Mais tu dois savoir de quoi on parle, j’imagine ? Le piège que nous lui tendions s’était déjà presque complètement refermé sur elle. Sa respiration devenait de plus en plus saccadée, et après un petit raclement de gorge elle agita sa main devant son visage, comme pour se faire un peu de vent. — Ouf ! Euuuh... Dites donc, les filles... vous... vous ne trouvez pas que... Enfin, c’est moi, ou... tout à coup, il commence à faire... un tout petit peu chaud, par ici ? bafouilla-elle en nous regardant, le visage désormais rouge pivoine, visiblement atteinte d’une douce fièvre. Erika venait de nous envoyer un signe plus que révélateur ; c’était le moment ou jamais pour le coup de grâce ! Souriante, avec la délicatesse qui s’imposait, je pris doucement sa joue avec ma main libre, tournai son visage vers moi, ...