1. Une leçon si particulière


    Datte: 18/12/2020, Catégories: f, jeunes, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, init, ecriv_f,

    Ce matin, je m’offre un petit moment d’extase. Profitant de ne commencer ma journée que dans l’après midi, je décide de suivre le conseil susurré amoureusement par mon mari au moment de son départ : celui de passer une belle matinée entre les draps, en ne pensant à rien d’autre qu’à mon bien être. Allez savoir pourquoi des images de ma jeunesse s’invitent dans mon esprit alors que je m’étire telle une chatte épanouie. J’ai 34 ans. Et, ce matin, je remonte le cours du temps pour me retrouver aux premières semaines de mes 18 ans. A l’époque, je n’étais pas très délurée et peu ouverte aux choses du sexe. Pour l’état civil, j’étais devenue majeure. Mais, dans ma tête, j’étais encore une adolescente et ne me figurais pas prête à voler de mes propres ailes. Solitaire, timide et sans doute trop choyée par des parents protecteurs, je me sentais souvent mal à l’aise avec mon corps. Ce mal-être perturba pendant un temps mes résultats scolaires et ma préparation du bac. J’étais pourtant bonne élève d’ordinaire. Prompts à réagir comme d’habitude, mes parents décidèrent de m’aider par des cours privés. C’est ainsi que je fis la connaissance de Maryse, étudiante en lettres, avec qui se noua, petit à petit, une vraie amitié. Maryse avait alors 23 ans. Elle était moyenne de taille, brune, les cheveux mi-longs, une silhouette agréable et l’essentiel de son charme tenait à un grand sourire très souvent au rendez-vous. J’étais un peu plus grande qu’elle, mais comme le vilain petit canard, je ...
    ... me trouvais trop fluette, dégingandée et bien plus banale que cette jolie fille. Les cours étaient très plaisants. Très vite, je me sentis en phase avec Maryse. Elle avait su apprivoiser mon côté solitaire, le respectant mais aussi m’enjoignant à souvent m’exprimer, à prendre confiance en moi. Jour après jour, l’amitié s’installait. On en vint tout naturellement à se faire quelques confidences. Oh, rien de bien terrible. Elle voulait savoir comment je me sentais parmi les autres, si j’avais suivi ses conseils pour tel exposé et comment j’avais ressenti le regard des autres sur moi. Ce genre de choses qui, bien que banales, n’étaient jamais exprimées ouvertement chez moi. Je me surpris un jour à vouloir lui parler de mon intimité. J’entendais parfois dans les couloirs du lycée les mots « plaisir », « caresses », « masturbation ». Je n’étais pas idiote au point de ne pas savoir comment le sexe se pratiquait. Mais, je n’avais jamais éprouvé de plaisir dans des pratiques solitaires, peu nombreuses puisque peu enthousiasmantes. Et, bien entendu, je n’avais encore jamais connu de garçon. Pour moi, Maryse était devenue comme une grande sœur. Et, j’éprouvais tout à coup le besoin d’évoquer le sujet avec elle. Il me fallut beaucoup de temps avant de me lancer. Mais, un soir, alors que notre séance de travail était terminée, je réussis à lui poser la question cruciale : comment une jeune femme devait se caresser pour réussir à jouir ? Première fois de ma vie où j’osais dépasser mes ...
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