1. Les bains Japonais (1)


    Datte: 19/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    Mon nom est Pierre. J’ai 30 ans, marié depuis deux ans à Ana, une pétillante et jolie brunette aux cheveux courts et aux formes généreuses où il faut. Je suis chef de cabine sur des longs courriers et suis malheureusement souvent absent ce dont nous souffrons, en particulier sur le plan sexuel, car nous ne sommes jamais rassasiés. C’est peut-être pour ça justement que ces absences répétées et forcées rendent nos retrouvailles si intenses. Ma femme vient d’être promue assistante d’un directeur commercial dans une PME d’une centaine de personnes. Cette petite entreprise travaille beaucoup avec le Japon. Plusieurs employés sont d’ailleurs Japonais et ce sont eux qui nous ont fait découvrir un endroit assez insolite et secret je dois dire - pourtant ouvert à tous à partir du moment où vous adhérez au Club - et qui est très dépaysant pour des occidentaux comme nous. En fait, c’est à la suite d’un déjeuner d’affaire dans ce Club, que ces Japonais l’ont fait découvrir à ma femme qui m’y a emmené par la suite. A la base, ce n’est pas un Club mais un bain "public" qu’on appelle Sentô au Japon. Mais ce petit complexe s’est adapté à la modernité et s’est occidentalisé. Outre le grand bassin en roches naturelles et ornementé de plantes exotiques, il y a deux saunas et deux hammams, un pour chaque sexe, et des bains à bulles, des salles de massages, un restaurant Japonais et des pièces annexes modulables où se déroulent divers événements liés à la culture Japonaise, comme des tournois ...
    ... de Sumo ou de Judo pour les plus sportifs et des rencontres culinaires ou vestimentaires dans la plus pure tradition nippone. Mais le plus intéressant, c’est le grand bain qui, contrairement aux saunas et hammams qui sont reliés, est mixte. Le jour où ma femme m’y a emmené, on s’est séparé dès l’entrée et après être passé dans nos vestiaires et douches respectives (enfin, ce ne sont pas des douches mais une salle de lavement où on se projette de l’eau à l’aide d’une cuvette avant de tremper dans un bain ), c’est enroulé d’une simple serviette qu’on s’est retrouvé dans le grand bain. Enroulé... C’est un bien grand mot car la serviette est si petite qu’on ne peut pas la nouer autour de la taille. Elle sert juste de cache sexe en la tenant devant soi et pour les femmes, ça couvre à peine la distance toison/tétons... Il faut dire que la nudité fait partie de la tradition japonaise en matière de bains publics à l’époque où les habitations n’étaient pas équipées de salle de bain privative. Mais, je ne m’en suis pas plaint évidemment... Ce jour-là, il n’y avait pas foule. Un autre couple et deux hommes d’affaires, apparemment, papotaient dans une autre partie du bassin de forme paysagé avec des recoins munis de bancs sous l’eau. Avec ma femme, on s’est isolés dans l’un de ces recoins en arrondi et on a fait trempette dans ces eaux chaudes et limpides. Rapidement, la tiédeur des eaux, la quasi nudité et l’intimité toute relative que nous procurait notre petite enclave rocheuse, a ...
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