Deuxième Place 07
Datte: 22/10/2017,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur,
... Viens là... » Juan attrapa une poignée des cheveux blonds de Terri et la traîna jusqu’à sa bite bien dure. Elle tenta de se dégager la tête d’un mouvement brusque, mais il lui tira les cheveux et la gifla. Terri savait qu’elle était capable de se défendre contre ce type. Mais elle savait aussi que si les flics revenaient et les trouvaient en train de se battre, il y aurait plus de rapports, plus de charges... plus de problèmes. Et pire que ça... Danielle découvrirait forcément qu’elle s’était battu et les raisons pour lesquelles elle s’était battue. Et elle avait bien précisé à Terry que quelque soit le moment ou les circonstances, sous aucun prétexte elle n’avait le droit de refuser d’accorder des faveurs sexuelles. Comme Terri entrouvrait ses lèvres et laissait l’inconnu lui glisser sa queue dans la bouche, elle dut amèrement reconnaître que Danielle avait encore réussi à la faire souffrir et à la violer d’une nouvelle façon. Elle essaya de lever la tête plusieurs fois, pour voir si les flics revenaient, ou simplement pour dire – « Ils vont être de retour dans une minute ! » mais Juan ne lui permit pas. « Continue jusqu’à ce que je crache ma purée, salope ! » insista Juan. Terri savait qu’elle aurait de sérieux ennuis si les flics revenaient et découvraient qu’elle taillait une pipe à un prisonnier. Elle arrêta donc toute résistance et le laissa lui baiser la bouche, ajoutant autant de mouvement de langue que possible et gémissant bruyamment malgré sa bouche remplie de ...
... bite. Quand la semence jaillit dans sa bouche et lui coula dans la gorge, elle était honteuse d’être plutôt mouillée. Cependant, ayant tiré son coup, Juan avait déjà remonté son pantalon et se désintéressa de Terri. Les deux policiers revinrent à ce moment. Terri gênée se contorsionna pour remettre son sein dans son bustier pendant qu’ils montaient dans la voiture. Heureusement, ils étaient trop dévoués à leur amour véritable --les donuts-- pour faire attention à l’exposition massive de nichons sur la banquette arrière. ------------------------------ « Là-dedans, » ordonna la femme policière, ouvrant la porte d’une cellule de détention. Une douzaine d’autres femmes était déjà cellule, principalement des prostituées. Bien forcée, Terri entra. Choisissant un banc contre le mur, elle s’assit. « Hey, c’est ma place, » grogna une voix. Elle appartenait à une grande amazone brune qui semblait mi-noire, mi-hispanique. Elle semblait aussi être "en charge" de la cellule. Tout le monde regardait volontairement ailleurs. « Désolée, » marmonna Terri. Elle se leva, et se dirigea vers un coin éloigné de la cellule et s’assit sur un autre banc. « Ça aussi c’est ma place, » la prévint l’amazone. Terri s’appuya contre le mur à la place. « C’est mon mur, lui signala-t-elle fatalement. Et il n’a pas besoin de ton cul en silicone pour tenir. — D’accord, mais alors où je suis censée-- » Terri fut abruptement coupée. Avec une vitesse surprenante, l’amazone avait traversé la distance qui les séparait ...