1. De la relation professionnelle


    Datte: 19/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... en temps réel. " - Ça me fait mal, pitié, arrêtez ! - Arrêtez qui ? - Arrêtez, Laure, je vous en supplie !" Une claque beaucoup plus violente que les autres me signale que j'ai fait une bêtise. " - On dit Maîtresse Laure ! - Pardonnez-moi Maîtresse Laure ! Je vous en supplie, arrêtez Maîtresse Laure." Pendant ce temps, elle continue à me fesser de plus belle. " - J'arrêterai quand je le voudrai !" Et elle continue... encore... encore... Je sens les larmes qui commencent à monter. Elle atteint mes limites, et les repousse. Et lorsque je sens que je n'en peux plus, à ce moment précis, le châtiment cesse. Net, précis, comme il a commencé. La douleur laisse place à la chaleur. Une douce caresse de Maîtresse Laure sur mes fesses me pousse même à dire : " - Je vous remercie Maîtresse Laure." Elle sourit. Elle sait que j'ai compris la leçon. " - Suis-moi. À quatre pattes." Je la suis jusqu'à sa chambre. Je jubile, elle m'offre l'insigne honneur de pénétrer dans sa chambre ! Quelle récompense ! " - Mets-toi à genoux, les mains dans le dos, le torse bien droit. Tu me regarde bien attentivement, tu n'as pas le droit de détourner le regard, cela fait partie de ta récompense." Je m'exécute sans attendre. Elle me regarde dans les yeux, et esquisse un sourire satisfait et légèrement hautain. Un sourire de conquérante. Puis elle commence à déboutonner son chemisier blanc, libérant ainsi sa proéminente poitrine de la prison bien trop étroite qui l'enserrait. Elle ôte ses chaussures, puis ...
    ... se retourne. Elle baisse tout doucement son pantalon. L'étroitesse de ce dernier l'oblige à dandiner légèrement son sublime postérieur. Stupeur ! Maîtresse Laure ne porte pas de sous-vêtements ! J'ai l'occasion de contempler ses magnifiques fesses bombées. Quel honneur. Elle dégrafe son soutien gorge, me laissant une inénarrable vue sur son sublime dos nu. Je n'en peux plus, c'est trop pour moi, mon sexe se dresse comme jamais. Il semble même vouloir grossir plus encore qu'il ne lui est physiquement possible de le faire. Au bout de mon gland, quelques gouttes perlent. Elle se penche pour fouiller dans son armoire, puis attrape quelque chose, je ne peux distinguer quoi, et se retourne. À ce moment précis, je vois un de mes rêves de réaliser. Sa poitrine se dresse devant moi. Gonflée, s'il en était besoin, par la cambrure de son dos et par son torse bombé. Sa silhouette toute entière n'est que droiture et fierté. Ses deux magnifiques seins, si divins que les comparer à une chose terrestre serait un blasphème, surmontés de deux sublimes tétons roses pointant au loin, me font face. Mon regard se détache au prix d'un effort digne de Stakhanov, pour se poser sur l'objet qu'elle a tiré de son armoire. Je tressaille, submergé de bonheur. Voilà donc ma récompense ! Quelle divine récompense ! Quel honneur me fait-elle ! L'objet qu'elle tient dans sa main, c'est un godemiché doté un harnais. Sans perdre de temps, elle l'enfile. Les lanières qui fixent son membre artificiel à son pubis ...