1. Anne est offerte aux serveurs de l'hotel sur demande de son amri (2)


    Datte: 20/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    Un peu plus de 21h, à l’adresse donnée par Maxime. Belle petite maison bourgeoise, blanche, au centre de VICHY. Au passage cette ville gagne à être connue, malgré son passé. Le petit pavillon est situé dans un groupe d’immeubles avec gardien. (Important pour plus tard) Je sonne. Maxime ouvre. C’est chez lui. « Bonsoir Anne, tu es très belle, plus que ce matin, j’espère que tu es très en forme.. » Allusion non voilée à mes prouesses avec lui. Une robe simple, mi travail, mi sortie, bleu foncé, le haut à boutons va jusqu’au nombril. Le bas, fendu devant assez haut. Portée « en mode travail », rien à dire. Si je la veux mode sexy, je dégrafe les boutons, je relève le bas sur les cuisses bien au-dessus du genou, il y a une sorte de revers à pression... Dénudée en dessous, ni slip, ni string, seins à l’air, effrontément prête ! Maxime me guide vers une grande pièce, grand salon, le feu crépite dans la cheminée. Quatre hommes sont là. Assis, fauteuils et canapés cossus. Lumière douce indirecte, petites lampes. Je suis confondue. Ils m’attendent !! Me regardent trottiner. « Voici notre petite princesse parisienne.. ! Anne vient VOUS rendre visite ». « Anne, voici René, notre sage. Impatient de te VOIR, Il ne me croit pas. Jean et André, non plus. «J’suis pas un menteur » « Faut les convaincre !! » « Anne. Dis-leur ! ». Je m’arme de culot : « OUI Messieurs, OUI, c’est VRAI, je viens ici pour votre plaisir à tous, je viens toute nue pour vous, à l’écoute de vos caprices, vos envies. ...
    ... J’ai PROMIS et J’ADORE ça !». La satisfaction est incontestable, les visages des 3 inconnus s’allument. Albert se redresse, tout fier. TOUS se demandent comment ça se peut ?? Comment elle va faire ? Maxime me présente une coupe de champagne, des biscuits. J’avale vite. Me prend par l’épaule, « m’expose » à René (Le plus vieux 72 ans). «Montre-toi bien vite...! Ma douce...» Face à René, quasiment sur lui, je déboutonne le haut de ma robe, fais jaillir ma poitrine, les pointes arrogantes dressées. M’inclinant vers lui, respectueuse, j’implore ses mains, les pose sur mes seins, sans un mot. Incité, il palpe à fond, estime, puis effleure des paumes de mains, s’agite, pince les bouts. Il bande déjà, consistant, JE LE VOIS... « Maxime, Ça c’est du grand choix ! Pas sauvage, la gazelle. Tu me gâtes ce soir ! » « C’est elle qui va te gâter, tu verras. Elle est exceptionnelle ». (J’ai oublié, René, malgré son nom est Nord-africain d’origine, basané, regard perçant TRÉS amoral) « On peut patrouiller en bas, ma salope ?? » Sans attendre, joignant le geste, René cavalcade sa main entre mes cuisses directement. Il investit l’endroit avec assurance. Réjoui. « Cochonne ! Nom de dieu !!!!!! Elle a pas de culotte mes amis, RIEN  !!! « Le minou est bouillant, trempé, elle mouille. Oh là là, Maxime, Albert. Quel cadeau !!! » (Celui-là n’a pas touché une femme depuis 10 ans ? Mais il se souvient. A mon avis va se révéler coriace...) « Écoute charmante petite, mets-toi vite à poil, je veux tout ...
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