1. Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Anne-Marie, sa mère (4)


    Datte: 20/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... couilles. Son sexe toujours aussi dur et tendu crache sa semence par vagues qui atterrissent sur nos seins, nos visages, maculent nos cheveux. Bon sang, c’est incroyable, il se vide par flots sans fin. Son sexe est en train de terminer son travail, je ne vois plus aucun soubresaut ni flot de foutre sortir de sa bite encore dure. Lorsqu’il termine, il avoue : -Putain, vous m’avez pratiquement vidé les bourses. C’est surprenant mais son énorme sexe est toujours aussi gros, à peine moins bandé mais toujours si épais. C’est comme s’il ne venait pas d’éjaculer. Juste incroyable ! Récit de Patrick Après cette ronde de folie sur ma bite, on a pris un instant de repos et une collation pour récupérer quand soudain ma mère est partie dans sa chambre et est revenue avec un étrange matériel. Après avoir pris une bonne dose de crème dans le creux de sa main, elle entreprend de me masser le gland, forçant sur ses pouces pour bien faire pénétrer l’onguent dans les plis du prépuce. La sensation est délirante et je rebande à mort illico. C’est comme si on avait plongé ma bite dans de la poix chaude. Elle interrompt ses caresses, se penche en arrière et pèche sur la table un lacet de cuir. Sans me laisser le temps de dire ouf, elle entoure la base de mon pénis avec le lien, le comprimant très fort. — Ne t’inquiète pas si ça serre. Y’a pas de danger… Un afflux de sang sous pression se produit dans mon membre congestionné qui se gonfle encore plus gagnant 2cm supplémentaires de tour et prend ...
    ... une teinte violacée. Bon dieu ! Je ne suis pas assez épais comme ça? Puis elle se saisit du long tube de plastique gris. Je comprends enfin à quoi tout ça rime. Anne-Marie me veut au maximum de ma forme, au moment de « prendre l’empreinte ». Quelle vicieuse ! Ç’en est diabolique ! Elle dégage la base du tube et en coiffe mon nœud dressé à la verticale. L’intérieur du cylindre est rempli de gel. Au fur et à mesure qu’elle l’enfile sur mon membre, j’éprouve des sensations étonnantes, ma bite brûlante s’enfonce dans quelque chose de froid et d’humide, agréablement frais. Une fois le cylindre bien en place, elle me demande de rester immobile une minute ou deux, avant de défaire le cockring improvisé à la base de mon sexe. Ma bite dégonfle peu à peu, libérant un interstice entre moi et mon « empreinte ». Sous les regards complices de mes 3 chiennes, Maman, très concentrée, entreprend le démoulage avec précaution, comme une petite fille retirant le moule d’un drôle de gâteau. Ensuite elle remplit l’empreinte d’une silicone spéciale à prise rapide et démoule après quelques minutes mon énorme queue ou plutôt sa réplique en silicone. Je peux voir devant mes yeux pour la première fois de ma vie ma bite à quelques centimètres ! La congestion des corps creux l’a rendue énorme, hyper détaillée avec ses veines gonflées, presque vivante. — Beau spécimen, n’est-ce pas ? S’exclame-t-elle. Mais il me paraît encore plus grand que son modèle ! Et elle en prend la mesure. Effectivement, sous la ...