1. Monica et co (2ème partie).


    Datte: 21/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... reconduire jusque chez elles. Cela ne me ferait qu’un petit trajet en plus depuis Saint-Quentin en Yvelines où j’habite avec Monica. Elles acceptèrent n’ayant pas d’autre solution. En cours de route, nous avons continué de bavarder. Elles partageaient un grand appartement en colocation pour réduire un peu les frais. Divorcées sans enfants toutes les deux, elles travaillaient dans la même entreprise à La Défense. Assez semblables et grandes, elles avaient la silhouette des femmes qui approchent de la plénitude. Le visage hâlé, des seins de bonne taille et des hanches marquées sous une taille mince, tout cela révélé dans des vêtements élégants qui les mettaient en valeur. On peut dire des belles femmes. Lorsque nous sommes arrivés en bas de leur immeuble de construction déjà ancienne, elles m’ont invité à prendre un dernier verre. Je n’en attendais pas moins, espérant même plus. Installé confortablement dans un vaste fauteuil de la salle de séjour, j’attendais que Natacha serve le jus de fruits proposé. Caroline s’était éclipsée quelques minutes. Quelle surprise lorsque quelques instants plus tard, je l’ai vue arriver en déshabillé vaporeux sous lequel ont voyait très nettement les aréoles des seins et la toison pubienne. Waouh ! Quelle vision ! • Viens, nous allons terminer ce que nous avons commencé ! Elle me guida vers sa chambre. Là, un grand lit nous attendait dans une sorte d’écrin douillet de couleurs tendres avec des miroirs à profusion, même au plafond au dessus du ...
    ... lit. Je pris Caroline dans mes bras pour l’embrasser, son torse collé contre le mien, je sentais la pression de ses seins fermes et le mouvement insidieux de son bassin qui massait ma bite déjà bien dressée. J’étais tombé sur une chaude. C’est vrai que c’est elle qui m’avait aguiché en caressant ma cuisse dans l’obscurité de la salle de cinéma. Bientôt elle se laissa glisser pour s’agenouiller devant moi et défaire la ceinture de mon pantalon et extraire de mon boxer un sexe de plus en plus rigide et tendu. Pendant qu’elle me suçait goulument je me suis dévêtu rapidement. Nu, je l’ai relevée et après avoir fait tomber son déshabillé, je l’ai couchée en travers du lit. J’ai écarté doucement ses cuisses et j’ai commencé un cunnilingus accompagné de la pénétration de deux doigts. Sa chatte était déjà très humide et chaude. Nous n’en pouvions plus d’attendre. J’étais sevré depuis huit jours déjà et mes couilles étaient pleines. J’avais repéré sur la table de chevet une coupelle pleine de préservatifs. Je me suis servi et la bite couverte, je suis monté sur le lit. J’ai relevé les jambes de Caroline le long de mon buste et j’ai investi sa chatte d’un seul trait puissant avant de m’immobiliser pour bien savourer cette grotte brûlante. Caroline a entrepris des mouvements du bassin pour faciliter le va-et-vient. Cela n’a pas duré. Nous étions tellement chauds qu’il n’a pas fallu longtemps pour qu’une jouissance terrible nous emporte tous les deux. J’ai déversé dans la capote logée au ...