Un après-midi mouvementé
Datte: 21/12/2020,
Catégories:
ffh,
fplusag,
inconnu,
copains,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
Oral
fgode,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
fouetfesse,
hff,
Devant la porte d’entrée de l’appartement, en attendant qu’on vienne lui ouvrir, Vincent défroisse d’une main l’emballage du petit paquet qu’il a amené avec lui. Il se retourne au bruit des pas dans la cage d’escalier. Une femme un peu potelée apparaît. En passant, elle sourit au jeune trentenaire grand et mince, planté là, l’air un peu emprunté. Lui, la salue en retour, avec cette spontanéité mâtinée d’une pointe d’embarras, du timide qui force sa nature. Sans être spécialement beau, il émane de son visage ovale encadré par de courtes boucles blondes une sensation d’harmonie. Ses yeux en particulier attirent l’attention : d’un vert éclatant comme ceux des chats, ils sont agrémentés de longs cils. L’impression de douceur presque féminine qui s’en dégage contraste avec les larges épaules et la taille étroite. Les ridules d’expression qui commencent à apparaître sur le front et le contour des yeux apportent une touche de maturité. Un pas résonne enfin derrière la porte, qui s’ouvre sur une belle femme aux cheveux bruns coupés au carré. Son visage s’illumine en reconnaissant son visiteur. — Vincent, quelle bonne surprise ! Entre donc. Qu’est-ce qui t’amène ? salue Carole.— Ce matin j’ai appelé ton cabinet et on m’a dit que tu avais pris ta journée. Comme de mon côté je n’ai pas de client à recevoir cet après-midi, je me suis dit que j’allais passer voir ma vieille copine, répond Vincent en embrassant son amie sur les deux joues. Carole escorte son visiteur dans le salon. ...
... Contrairement à son habitude, sa tenue vestimentaire est davantage confortable qu’élégante : un jean foncé et un col roulé noir. L’ensemble plutôt moulant met en valeur les fesses rebondies et la poitrine volumineuse, à peine un peu affaissée à l’approche de la cinquantaine. — J’ai apporté des macarons, qu’on ne papote pas l’estomac vide, dit le jeune homme en brandissant son colis.— Ah, je reconnais l’emballage du chocolatier. Monsieur a du goût. Je vais nous servir une flûte de champagne, pour aller avec. Ils prennent tranquillement place autour d’un guéridon, sur lequel trônent bientôt une assiette de gourmandises et une bouteille de millésimé. La conversation porte sur leurs activités professionnelles. Depuis quelques années, Carole s’est établie à son compte comme architecte. Vincent est l’un des avocats de la société qui gère les aspects juridiques et comptables de l’entreprise. Amenés de ce fait à se rencontrer régulièrement, ces deux célibataires impénitents ont vite sympathisé, au point d’avoir une brève aventure. Paradoxalement, le constat de leur indisponibilité réciproque pour une véritable relation les a encore davantage rapprochés, ce qui a fait naître une véritable amitié. Peu à peu, le fil de la discussion dévie sur leurs vies sentimentales respectives. Si Vincent papillonne comme à son habitude, Carole a rencontré un homme avec lequel elle n’aurait pas détesté se fixer. Malheureusement, il est marié et, comme toujours dans ce genre de situation, jure ses grands ...