Collocation
Datte: 21/12/2020,
Catégories:
Hardcore,
Première fois
Inceste / Tabou
... Allez, roulez-vous une pelle, qu’on en parle plus, ajouta Martine.Virginie, qui était assise à côté de moi sur la banquette, me regarda dans les yeux.— Bon, puisqu’elle insiste, dit-elle.Elle approcha ses lèvres des miennes. Sa langue vint chercher la mienne dans ma bouche. Martine me prit la main et la posa sur la poitrine de son amie. Ce contact la fit sursauter. Je sentais ses tétons durcir entre mes doigts. Comme par réflexe, ma main pétrissait ce sein déjà dur. Mon sexe retrouvait sa forme et tendait de nouveau le tissu de mon jean. Martine prit la main de son amie, la posa sur la bosse de mon pantalon et me caressa. Notre baiser devenait de plus en plus torride, mais ni l’un ni l’autre ne voulions l’interrompre. Martine délaissa la main de sa copine pour guider la mienne sous le haut de Virginie. Ma main était maintenant directement en contact avec sa peau, avec son sein.Soudain, Virginie s’écarta.— Oh là, dit-elle, on se calme, euh… je crois que je vais rentrer maintenant.Martine se pencha et lui parla à l’oreille.— Mais ça ne va pas, ta tête ! dit Virginie. Tu es complètement folle !Martine lui parla une nouvelle fois à l’oreille, puis se leva et se dirigea vers la salle de bain en disant :— De toute façon, je vous laisse, je vais prendre une douche.Dès qu’elle eût disparu, je demandai à Virginie :— Qu’est ce qu’elle t’a dit ?— Humm, c’est un peu embarrassant. Tu vas me prendre pour une salope.— Mais non, vas-y racontes, ajoutai-je, j’ai quand même bien le droit de ...
... savoir.— En fait… euh… je lui avais raconté que lorsqu’un mec mignon me draguait et qu’il devenait… euh… comment dire… trop pressant, il m’arrivait de lui faire une petite… euh… tu vois quoi pour le calmer…— Et ?— Et elle m’a dit que la moindre des choses que je puisse faire, pour toi… c’est de t’en faire une, et c’est pour cela qu’elle est allée prendre une douche, pour nous laisser tranquille.— Vraiment ?— Oui… et elle a ajouté que, vu l’état dans lequel tu es, dit-elle en fixant la bosse qui déformait mon pantalon, il était clair que tu en avais envie… et soit je t’en faisais une, soit tu devrais te soulager tout seul, car elle est fatiguée.Elle me fixait toujours dans les yeux. Ne pas regarder sa poitrine me demandait un énorme effort de concentration. Elle s’approcha de moi et m’embrassa à nouveau fougueusement. Sa main déboucla ma ceinture et ouvrit mon pantalon. Elle dégagea mon sexe du carcan dans lequel il était emprisonné. Elle me le caressait avec une infinie douceur. Elle se leva et se glissa entre mes cuisses. Elle me fixait dans les yeux et, comme au ralenti, approcha sa bouche de mon gland. D’un mouvement de tête très sensuel, elle rejeta ses cheveux sur le côté. Elle m’enleva mon pantalon. Mon sexe raide n’était qu’à quelques centimètres de sa bouche. Je sentais son souffle chaud sur mon gland. Elle commença par me lécher à grands coups de langue, comme si elle léchait une glace. Sa langue partait de mes couilles et remontait jusqu’au sommet de mon vit. Arrivée ...