Scorpions, tournée d'adieux !
Datte: 22/10/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
extraoffre,
inconnu,
fépilée,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
confession,
occasion,
Remarque préliminaire : Depuis quelques années, je suis très sage. Je raconte mes aventures passées. Aujourd’hui j’ai quelque chose de neuf à partager, quelque chose qui, pour moi, a été un moment très fort. Je sais bien que mes mots ne vous feront pas vivre cet instant magique, mais on peut essayer. J’étais début avril en vacances en Normandie, et mon mari avait réservé deux places pour le Zénith de Caen où Scorpions passait pour sa tournée d’adieux. Je ne suis pas fan de hard rock, mais j’adore les ballades de Scorpions – « Still loving you », « Send me an angel »… Mon mari, lui, est un fan absolu. Nous nous étions habillés pour l’occasion : lui en jean, tee-shirt noir et vieux cuir de moto, et moi en jupe de jean – j’avais une jupe en cuir mais j’ai un peu vieilli (quarante-cinq ans), et je ne rentre plus dedans ! Ou alors en forçant, et ce n’est pas plaisant – un top à fines bretelles en crêpe blanc, et une veste en cuir, plus bourgeoise que motarde mais je voulais être raccord. Ah oui, avec des bottes. Jolies bottes, pas cuissardes vulgaires. Euh ! Non, rien d’autre. C’est tout. Le concert était génial. J’ai même adoré les moments hard rock. Une ambiance phénoménale. Je dansais sur place, chantais. Mon mari sifflait… Nous battions des mains, bras en l’air… Fabuleux ! Assez rapidement, j’ai retiré ma veste et l’ai posée sur mon sac, lui-même posé entre mes pieds. J’étais sur un nuage. Nous regardions souvent la foule autour (nous étions dans la fosse), c’était ...
... incroyable. Et, plus terre-à-terre, à côté de moi certains spectateurs me regardaient avec insistance. Cela ne me déplaisait pas. Au contraire. Il y avait de tout, de vingt à soixante ans, des gens proprets et des bikers tatoués jusque sur leurs crânes chauves ! Un peu devant moi, sur ma droite, un jeune d’une trentaine d’années se retournait souvent pour me regarder. En fait, quand je dansais en tapant des mains, bras en l’air, son regard allait de mon visage à ma poitrine qui semblait lui plaire, voire plus bas. C’est vrai que mon top relevé par mes bras en l’air dégageait un peu de mon ventre nu (l’attrait de la chair !), et que mes seins libres sous mon top léger et très agités par la musique devaient attirer le regard ! Et j’aimais tant ça que j’ai eu envie de plus. Je me suis mise devant mon mari (je ne le gênais pas, il est bien plus grand que moi), et ai pris ses mains pour les poser sur mes hanches. Dans cette nouvelle position, j’étais juste à côté de mon admirateur. Mon mari est resté un moment comme cela, c’était agréable mais insuffisant. Je l’ai alors guidé sur mon petit top pour que ses mains remontent et me caressent les seins. C’était si bon ! Nous dansions, bougions sur place plus que nous ne dansions à vrai dire, et ses mains me caressaient. J’adorais. Je tourne la tête, mon voisin nous regarde. Je lui souris. Il me répond. Je le sens gêné mais comme délivré de sa culpabilité de mateur. Il est désormais connu, reconnu… et invité. Je le regarde désormais et lui souris ...