1. Voyage d'affaires


    Datte: 22/10/2017, Catégories: f, fh, inconnu, voyage, Masturbation Oral ecriv_f,

    ... n’attend qu’une petite manœuvre de ma part pour exploser et ainsi libérer toute tension qui croît avec mes fantasmes visuels et les images que mon cerveau me renvoie. C’est un exercice mental presque douloureux, mais combien excitant. Mes seins semblent se gonfler et font mal. Je les caresse avec mes coudes, discrètement. Je tente de me convaincre que dans moins d’une heure, je serai avec mon homme, à la maison et aurai toute la latitude pour assouvir ma soif d’orgasme, une fois la porte passée et les rideaux tirés. Je salive, juste à cette idée. Je tente d’hydrater mes lèvres sèches, du bout de la langue. Je ne tiens plus en place. J’ai peur de mouiller le banc sur lequel je suis assise. Je passe parfois ma main des mes cheveux, pour les aérer un peu, et essayer de me changer les idées. L’homme derrière moi avait cessé de lire. Je n’ai pas remarqué que le train c’était arrêter, entre deux gares…puis tout c’est éteint, il restait les petites lumières de secours, au-dessus des bancs. Rien pour me calmer. Je me dis que même si je me caresse ici, il ne pourra me voir, juste pour enlever un peu de tension, qui me tiraille l’entrejambe. Je n’entends que mon cœur battre. Un message à l’interphone annonce une panne, de durée indéterminée, que si on a besoin de quelques chose, on avait qu’à ce présenter à l’avant du train. Je n’ai pas vu non plus, que l’homme c’était avancé de quelques bancs. En regardant à nouveau dans le miroir, je ne voyais que le bas de son corps, ses jambes ...
    ... écartées, présentant un renflement évident de son sexe en érection. Son pantalon semblait soudain trop étroit. Je regardai droit devant moi, les joues en feu. Je sentais son regard posé sur mon cou, dans mon dos, détaillant mes moindres courbes…imaginant celles de devant. Il se produisit comme une décharge électrique en moi. J’eus envie de me retourner pour le fixer dans les yeux. Il devait être dans le même état que moi, prêt à exploser de jouissance à la moindre manœuvre déplacée. Ma robe collait à ma peau comme au banc, toute détrempée. La chaleur était à peine supportable. Ni un ni l’autre n’osions bouger. Je l’entendis défaire un peu son nœud de cravate et passer sa main dans ses cheveux, collant de sueur, et d’excitation peut-être…plusieurs minutes passèrent ainsi, je jetais des regards rapides au miroir. Le bout de ses doigts massait doucement son sexe, par-dessus son pantalon. Lui aussi léchait sa lèvre inférieure, comme pour l’hydrater. Je pense qu’il savait que je le voyais faire, mais il semblait beaucoup trop excité, comme en transe, pour sans préoccuper. Ça devait attiser son désir. Mes jambes étaient engourdies, ainsi, je les dépliai et m’assit bien droite. Mes pieds touchèrent le sol froid, et mon cœur arrêta de battre quelques battements. J’eus l’impression que le voyageur le senti lui aussi. Sa main se crispa, et j’imaginai facilement l’effort surhumain qu’il dut faire pour ne pas éjaculer dans son bel habit. La tension qui nous habitait était palpable. Ses ...