L'alarme
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
fh,
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vacances,
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bateau,
Oral
pénétratio,
fdanus,
Partouze / Groupe
aventure,
... la 1315, répondit Catherine. Les garçons passèrent un caleçon et suivirent le capitaine et les matelots. Paula se tourna vers la femme et la remercia car elle avait peur. Elle sentait que quelque chose de grave venait d’arriver sans pour autant en déterminer vraiment les implications. Tout ce qu’elle pressentait c’est que sa vie et celle de tout le monde allait irrémédiablement être bouleversée. Elle prit la blonde par la main et la dirigea avec assurance dans les méandres des coursives du paquebot de croisière. Les deux courraient nues à travers le bateau. — Comment connais-tu aussi bien ce bateau ? interrogea la quinquagénaire haletante.— Je suis femme de ménage sur ce bateau depuis cinq ans, sourit-elle en évitant les passagers hagards qui sortaient de leur chambre. Elles arrivèrent cependant sans encombre à la cabine. Déjà les couloirs se remplissaient. La panique se lisait sur les visages endormis. La cabine était en désordre. Ça et là des vêtements, des livres, des magazines traînaient sur le lit, sur le sol. La petite table attenante au salon, était encombrée de carnets et un livre de Platon y était ouvert. Catherine prit dans la salle de bain une grande serviette éponge jaune. — Tu veux que je t’essuie ? proposa-t-elle avec douceur. La jeune mexicaine regarda son aînée et accepta. Avec délicatesse, la serviette frotta le dos à la peau halée puis essuya les petites fesses plates. La française s’agenouilla pour sécher les jambes encore dégoulinantes d’eau. Paula se ...
... tourna et présenta son pubis foisonnant qui perlait de gouttelettes. Catherine approcha la serviette et frotta lentement la toison brune. La vulve gonflait. La quinquagénaire posa alors sa bouche sur les poils noirs et sa langue fendit les petites lèvres. Debout, la jeune mexicaine soupira d’aise. Jamais elle n’aurait cru pouvoir faire cela avec une femme. Aucun penchant saphique à sa connaissance. Jamais l’idée ne lui avait traversé l’esprit. Mais Catherine était différente. C’était certes une femme mais son âge, sa stature, ses seins si lourds, ses hanches larges et puissantes lui conféraient autre chose que la jeune femme ne comprenait pas. Paula s’allongea à même le sol, se redressa sur ses coudes et contempla Catherine, incapable d’émettre la moindre parole. Quant à la femme mûre, à genoux entre les jambes de sa compagne, elle introduisit l’index gauche dans l’intimité de son amante et le majeur droit dans la sienne. Elle aussi regardait fixement sa compagne, mais avec un air nettement plus provocateur. Puis la française se mit à plat dos et installa Paula à genoux au-dessus de sa bouche, ses lèvres sur ses lèvres. On distinguait nettement la langue de Catherine à l’ouvrage. Elle y mettait toute son expérience acquise au long de sa vie libertine. Elle tournait, suçait, léchait, introduisait légèrement… Dans le même temps, sa main agaçait un sein dont la large aréole se gonflait. Paula avait manifestement quitté ce monde : elle avait du mal à trouver sa respiration, son corps ...