Unif Sissy transformation (Ep. 1)
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
Anal
Gay
Transexuels
... reste pantois… merde ! « Joliminoi » est un type, de deux fois ma carrure, une fois et demie ma taille, le teint hâlé… l’archétype du type que je déteste (et qui me le rendent bien !) : le gars beau, grand et fort !* *J’ai sonné, et on vient m’ouvrir. Raté pour la blonde nymphomane, ça je le savais déjà, mais le « Alexandre » me dévisage, la bouche pendante… bon, il ne s’attendait pas à moi non plus. Comme le gars ne semble pas beaucoup bouger, je décide de prendre les devants. « Bonjour ! Tu dois être Alexandre ? Je suis Mike, et je cherche vraiment un logement… je peux entrer ? » Je suis convaincu que la vie, c’est comme le foot : s’il n’y a pas d’ouverture possible, faut enfoncer les lignes et créer toi-même l’ouverture ! Sourire sympathique, main tendue et serrée (il a les mains moites !) et je joue un peu de mon physique, gentiment, mais fermement et me retrouve vite dans le living. Je connais de loin ce type, le geek en fac de commerce. Les copains du foot s’en moquent souvent. C’est vrai qu’il est pas très grand, plutôt frêle de constitution, pâle de peau, pas très poilu, lunette dépassée et T-shirt au logo d’une marque d’informatique… il s’est mis sur son 31 le coco !Il me fait visiter l’appart, pas vraiment enchanté. Mais l’appart est génial ! La chambre est grande, la salle de bain aussi et super équipée, tout comme la cuisine, le living est lumineux et spacieux et la TV HD et à écran plat. Le rêve. Et à cinq minutes du campus. Même pas, une rue à traverser. Cet ...
... appart il me le faut, il est trop génial !* *Génial ! Je le connais en plus le gars, c’est la nouvelle star du foot de l’unif. C’est pas « joliminoi », c’est « Capitaine Belle gueule ». J’aurai sorti mon plus beau T-shirt pour rien. Et en plus à peine je lui ai serré la main, il était déjà dans le living, avec son sourire « Pepsodent ». Je n’en voulais pas de ce gars, pas chez moi, mais je n’osais pas le chasser. Les grands et forts ont toujours eu une sorte d’assise sur moi, je n’ose jamais leur dire non. Je lui ai donc fait visiter l’appart. Et en plus il semblait emballé. Zut, et re-zut. Je n’osais pas le baratiner, lui dire que l’appart était déjà pris. Il ne me restait plus qu’une solution, la dernière parade : la visite terminée j’allais chercher le contrat de colocation, et à son insu changeait le montant de la colocation, pour une somme plus importante que ce que j’avais prévu… une somme dissuasive ! Puis je le lui tendis, expliquant les règles à respecter… j’attendis avec une anticipation sadique le moment où ses yeux tomberaient sur le montant, et où il allait pâlir et me rendre le contrat les larmes aux yeux, se cherchant une excuse pour ne pas me dire que c’est impayable pour lui… hé, hé, hé…* *C’est quasi fait, je le sens ! Il est allé me chercher le contrat de colocation, je suis presque dedans. Bon, il me baratine les règles d’usage, normal. De toute façon on fera un peu comme on veut, c’est toujours comme ça. Alors, les clauses me semblent conformes, et le ...