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Un stage très formateur (5)
Datte: 23/12/2020, Catégories: Hétéro
Je me maudis d’avoir mis des collants. Je suis dans un état de désir frisant l’apoplexie. Il ne dit rien. Il sait que j’en meurs d’envie. Il ne me dit pas où on va. Il passe sa main entre l’élastique du collant et mon ventre. Il décale sur le côté mon petit string en dentelle, et je sens maintenant ses doigts sur la peau de mon pubis. Pour la toute première fois. Il chatouille du bout des doigts de capuchons de mon clitoris, je commence à soupirer. J’ai envie que sa main descende encore. Qu’il comprenne combien je suis mouillée. Avec quelle hospitalité je l’accueillerai si il entrait chez moi. Il descend se main, passe un doigt sur ma fente baveuse, qui glisse tout seul à l’entrée de mes lèvres. Il lance un « Hum ! » d’étonnement. Il me regarde de ces yeux bleus qui maintenant évoquent en moi un gage de plaisir et d’émois. Je ne verrai jamais ces yeux dans d’autres circonstances que celle de la baise. Et ça me plaît... Il me caresse doucement, j’ai un brasier entre les cuisses. Mon excitation ruminée depuis des jours à rendu mon corps absolument sensible et à fleur de peau. Chaque nouvelle sensation, chaque parcelle de peau au préalable jamais explorée par ses mains et une jouissance.. Je regarde sa main entre mes cuisses et je trouve ça beau. Il me regarde regarder. Il a dû comprendre que j’aimais ça : Voir. Je lève les yeux vers lui, et il plonge un doigts dans mon ventre... Je me cambre sur le siège en cuir. Enfin. Il s’agite dans mon intimité, autant que la conduite de ...
... sa voiture lui permet. Il me branle doucement, moi je gémis, je n’en peux plus. J’ai envie de lui. Feu rouge. On s’arrête, on est au centre ville et il y a du monde sur le passage piéton. Par réflexe je referme mes cuisses sur sa main. « Non » C’est le premier mot qu’il à prononcé depuis que nous sommes montés dans cette voiture. Accompagné du geste qui va avec, il poussa de sa main ma jambe droite vers l’extérieur, pour que mes cuisses restent bien écartées. Je ne dis rien et je m’exécute. Autorité. Tiens.. On dirait qu’il aime faire preuve de fermeté. Pourtant il ne sait pas que j’adore ça. Ça promet.. On reprend la route, il me caresse encore, je suis presque dans les vapes. Je ne m’étais même pas rendu compte qu’on est en train de pénétrer dans une sorte de parking. Je sors de ma rêverie, il à dût percevoir mon regard interrogateur : « – On fait un crochet par mon bureau à l’hôpital. Je ne peux pas résister.. » Son bureau ? On va donc avoir un moment lui et moi dans un endroit fermé et sans personne. Magnifique. Il gare sa voiture juste devant une porte, me dit de le suivre, il pleuviote. Je laisse mon sac, remets mon collant en vitesse et sors. Il tape un code sur une porte lourde. On entre. C’est une petite pièce sombre ou il y a une sorte de petit bureau, et d’autres meubles. Je retire mon manteau à toute vitesse et il se jette sur moi. Il plonge ses yeux dans les miens.. Il maintient sans coupure une tension qui vit dans nos regards. Il me colle contre le bureau, mes ...