1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (2)


    Datte: 23/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... guère pratiquant, mais en y regardant de plus près, aimer autant baiser ma tante me fit croire qu’elle fut programmée pour moi en arrivant sur terre… Véro me sentant arriver, elle se mit à jouir avec une férocité remarquable, me plantant ses ongles dans mon derrière. Je me joignis à mon tour dans le plaisir et nos deux corps unis, allongés l’un sur l’autre se complétèrent dans un accouplement animal. De baisers dans le cou, mes lèvres se rapprochèrent des siennes mais ma tante fut ailleurs, bouche ouverte cherchant de l’air en plein orgasme. — Oh mon Patrick…S’exclama-t-elle en prononçant enfin ses premiers mots. — Oui ma belle Véro. Répondis-je sentant ses contractions vaginales intenses. — Humm… Continue !!! S’exalta-t-elle au plus fort de son orgasme. — Jouis ma belle ! Lui ordonnai-je avec des coups de reins à répétition. — Ouiii…Oui…oui…Dit-elle foudroyée du plaisir de sentir mon sexe la pénétrant inlassablement. Je baisai ma tante avec une délectation sans borne, l’entrainant vers une béatitude plus intense que je ne l’avais envisagée. Au plus fort de notre coït incestueux, elle tourna son visage en m’accordant sa bouche, ses lèvres tant désirées. J’accolai les miennes et d’un naturel déroutant, ma langue plongea dans son palais rejoignant la sienne aussitôt. Nous échangeâmes une pelle digne de mon adolescence, sans modération. Véro m’embrassa sans arrière-pensées, totalement libérée de ses interdits. — Comme c’est bon de t’embrasser. Dis-je euphorique. — Ouiii. ...
    ... Répondit-elle en reprenant de plus belle pour enrouler habilement sa langue avec la mienne. J’atteignis mon premier objectif, décoincer ma tante, la voir détacher des barrières qui nous entravaient. Ma tante fut libre. Malgré ma jouissante passée, Véro se laissa encore baiser plusieurs minutes en passant ses mains sur mes fesses et mon dos frénétiquement. — Oui…Ouiii…Lâcha-t-elle dans un dernier soupir. Je me détachai d’elle peu à peu, tout en continuant notre baiser sexuel en oubliant la tendresse. Rassasiée physiquement, Véro, malgré l’heure tardive me proposa de descendre fumer une cigarette et je devinai en elle une envie soudaine de bavarder avec moi. Heureuse comme une collégienne, elle enfila sa nuisette et m’entraina vers le salon avec la vision de son joli cul en prime. Véro fut en face de moi, installée sur le canapé, les jambes repliées en fumant sa cigarette. ptpmmys — Tu m’as fait un bien fou, ça fait si longtemps que je ne m’étais pas sentie aussi bien ! Déclara-t-elle épanouie. — J’étais sûr que ça fonctionnerait à merveille avec toi. Alors plus de remords ? — Disons que j’évite d’y penser mais pourquoi dis-tu que tu étais sûr que ça marcherait à merveille ? Répondit-elle bien curieuse. — Tu représentes la féminité absolue pour moi, je te sens réceptive au possible, ta sensualité m’emporte et quand je te saute, c’est un accomplissement tant j’aime te faire jouir, te voir jouir Véro. — Bah…ça en fait des choses ! Euh disons que pour moi, c’est si nouveau et en plus ...