Séduction délicate de la soeur de ma mère (2)
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... effleurent ta peau, qui passent le long de ton corps, qui épousent tes épaules. Sens comme elle glisse le long de ton corps, ton corps qui s’apaise, qui devient plus léger. Dis-je d’une voix douce et légèrement enjouée. — Oui…Dit-elle en respirant profondément. — Tu ressens des émotions nouvelles, agréables et tu deviens légère comme une plume, tu aimes mes mains qui effleurent l’ensemble de ton dos, de tes jambes et de tes pieds…Poursuivis-je en faisant désormais de grands passages sur son corps fabuleux. — Oui c’est bon…Dit-elle en fermant les yeux. Mes mains prirent possession de son corps, je passai de sa voute plantaire en remontant jusqu’à ses épaules en formant une enveloppe tout en redescendant le long de ses bras. Je m’attardai sur sa nuque, pour la soulager de diverses contractures puis j’entendis sa respiration s’amenuiser. Je massai, enfin je caressai à proprement parler l’intérieur de ses cuisses par de grands mouvements circulaires. Je n’eus qu’une idée, effleurer ses lèvres intimes mais de peur de tout gâcher, je me résignai à poursuivre ledit massage natif de Californie. Je terminai en lui pétrissant les muscles au niveau des épaules, plus précisément les trapèzes. Cela eut pour but de la réveiller. — Oh comme je suis bien Patrick, c’est de la folie ce massage. S’enthousiasma-t-elle. — Je te l’avais dit. — Mais j’ai l’impression que je me suis presque endormie. — Tu étais transportée par mon massage relaxant et tu t’es abandonnée, tu t’es complétement ...
... décontractée et là, tu vas super bien dormir. Conclu-je en abandonnant son corps somptueux. Elle se mit debout, les mèches dans le visage et spontanément elle se serra contre moi. Je lui passai les mains dans le dos en la frottant, comme pour la réconforter et elle posa sa joue contre la mienne. Petit moment de tendresse. Sur le point de partir, elle se retourna. — Patrick, c’était purement génial, merci mille fois pour tout ce que tu fais pour moi. Elle revint me dire bonsoir et curieusement elle posa ses mains sur mes épaules et se colla contre moi. Elle respira fortement, je lui glissai un baiser dans le cou pour mieux m’éloigner. — Oh Patrick…Gémit-elle. — Oui bonne nuit ma Véro. Cette fois elle joignit ses mains en forme de cœur sur le pas de la porte et me fit un clin d’œil. Je me couchai heureux, mais connaissant ma tante je savais qu’elle allait se mettre à culpabiliser de ce massage, étant donné que mes caresses s’étaient égarées sur une partie interdite de son corps. Le matin j’arrivai en boxer dans la cuisine, en voyant Véro déjà sur la terrasse devant sa tasse. Elle m’entendit et accourut vêtue de son peignoir uniquement. — Bonjour Patrick. Dit-elle en approchant sa joue. — Bonjour Véro, tu as bien dormi ? — Oui extraordinaire ! S’exclama-t-elle. Je la pris par la taille mais ses lèvres se dérobèrent quand les miennes approchèrent de sa bouche et mon baiser se termina sur sa joue. Par crainte de voir les enfants arriver, elle s’éloigna et me proposa un café. Comprenant sa ...