1. Julia et Lucie


    Datte: 24/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Inceste / Tabou

    Julia devint mon amante peu après son emménagement dans mon immeuble. Jeune divorcée, elle vivait seule avec sa fille, une adorable adolescente, prénommée Lucie. Je l’avais rencontré dans une soirée, entre voisins et il était clair que nous nous étions tout de suite, plu.Sans vouloir se remettre en couple, elle avait su me faire comprendre qu’une femme a ses besoins et qu’elle aimerait beaucoup que je l’aide à les satisfaire. Proposition sans équivoque qui me convenait parfaitement. Vieux célibataire endurci, je n’avais aucune envie d’une femme à la maison, par contre dans mon lit, de temps en temps, voilà un agréable programme.Elle s’avéra de plus, une vraie tigresse dans le domaine du sexe. Ses besoins étaient variés, son imagination débordante. Dotée d’un corps splendide, aux courbes généreuses, je ne me lassais pas de la pénétrer de multiples façons, le tout dans un langage d’acteur porno dont je ne me soupçonnais pas. Il est vrai qu’elle avait ses manières à elle de réveiller la bête qui est en vous et la plus-part du temps, c’est bien moi qui gisais, épuisé, après des heures d’une baise torride et effrénée.Au-delà de ces jeux érotiques, elle était, aussi, une personne cultivée et intéressante. Petit à petit je prenais mes marques dans cette famille, aidant même souvent Lucie pour ses maths et son anglais. Il n’est donc pas étonnant que je fusse invité à ses dix-huit ans pour un dîner sans prétention.Pour marquer le coup, je lui avais acheté un collier, plaqué or avec ...
    ... le design d’une petite hirondelle. C’est souvent cette image qui me venait à l’esprit lorsque je pensais à elle. Lucie avait un, je ne sais quoi, de gracile, une douce fragilité doublée d’une énergie frémissante comme beaucoup de filles de son âge et bien qu’elle n’ait pas hérité des formes voluptueuses de sa mère, elle était très belle. Le grain de peau un peu matte, un petit nez mutin sur un visage d’ange, j’étais persuadé qu’elle faisait tourner la tête aux garçons même si je ne lui connaissais pas d’amoureux.La soirée était agréable, le repas excellent. Lucie, avec un petit cri de ravissement, s’était empressée de porter mon cadeau. Nous discutions de tout et de rien, notre jolie hirondelle, enjouée de sa fraîche majorité s’emballait à nous décrire toutes les nouvelles opportunités auxquelles elle avait maintenant droit.Puis, installés dans le salon après avoir copieusement mangé, nous avions décidé de siroter quelques alcools forts que Julia avait disposé. Je trouvais que cette jeune fille buvait un peu trop à mon goût mais après tout, il était temps pour elle de se fixer ses propres limites et je n’avais aucun droit à son éducation. Je sentais, moi aussi, ce délicieux Armagnac me monter à la tête et admirant la robe de soirée de sa mère, me demandais si elle accepterait de me rejoindre, plus tard dans la soirée. Comme si elle lisait dans mes pensées, Julia enchaîna avec une question qui me prit de court.- Dis-moi, Pierre, quelles sont tes limites dans le sexe ?Jetant un ...
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