1. L'impromptu du Bois d'Amour (1)


    Datte: 24/12/2020, Catégories: f, ff, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral fdanus, jouet, jeu, attache, baillon, yeuxbandés, fsoumisaf,

    ... salle à manger ; il y a un coin salon et une cuisine américaine. Je vais ouvrir les volets… Voilà, vous avez un grand balcon.— Il est grand, effectivement. Il donne plein Sud ?— Oui. Et le bois en dessous est un espace naturel classé. Vous le voyez, il n’y a aucun vis-à-vis.— Alors on peut se promener toute nue dans la maison sans risquer d’être vue ?— Oui, rougit Corinne, je crois…— Vous ne faites jamais ça ?— Si, bien sûr… Mais je ne me suis jamais posé la question…— Et on peut aussi faire du naturisme sur la terrasse ?— Oui, si on veut, répliqua Corinne en étouffant un petit rire.— On est bien ici… Vous me montrez le reste de l’appartement ? Elles terminèrent par la plus grande des deux chambres à coucher, équipée notamment d’un large dressing entièrement recouvert d’un miroir qui occupait tout un pan de mur. Le grand lit avait un cadre en métal sobrement ouvragé – tête et pieds à barreaux – et il était couvert d’un large plaid imitation fauve. — Alors, Madame ? Qu’en dites-vous ?— Je pense qu’il me convient tout à fait, répondit Sylvie. Je puis vous prendre en photo ?— Quelle idée !— Vous êtes une hôtesse de charme ; mon mari aime savoir avec qui je fais affaire.— Eh bien soit. Corinne se prêta donc au jeu des photographies, et Sylvie semblait y prendre un tel plaisir que le modèle improvisé se demanda si Sylvie n’allait pas lui demander de faire des photos dénudées ! Mais semble-t-il satisfaite de cet intermède, la photographe mit un terme à la séance et posa ...
    ... l’appareil sur le lit. — Vous permettez que je prenne quelque chose dans mon sac ?— Je vous en prie. Corinne accompagna Sylvie dans l’entrée et cette dernière fouilla dans le grand sac d’où elle tira un revolver en plastique grossier qu’elle braqua sur elle. — Mains en l’air, salope ! Interloquée, Corinne leva immédiatement les mains et, se rendant compte que le jeu entrait dans une nouvelle phase, elle prit un air apeuré. — Mais, Madame, je ne comprends pas ! Que me voulez-vous ?— Je ne te ferai aucun mal si tu fais tout ce que je te dis. Ton sac à main ! Corinne, qui l’avait gardé en bandoulière, le lui tendit puis remit les mains en l’air. Sylvie s’en saisit et, se détournant, s’agenouilla devant le sac de voyage, farfouilla vaguement à l’intérieur. Se retournant elle tendit à Corinne une paire de menottes qui n’étaient, elles, en rien factices… — Enlève ta veste et mets ça. Corinne obéit et referma un premier bracelet sur son poignet gauche. Le métal froid et dur lui fit une curieuse impression. Il y avait fort longtemps, jeune fille, elle avait découvert le trouble plaisir d’être attachée. Et fort longtemps qu’elle ne s’y était pas adonnée. — Les mains dans le dos ! ordonna Sylvie. Et suis-moi. Et elle referma le second bracelet sur son poignet droit : au second déclic, Corinne sentit ses mamelons durcir et sa chatte s’humidifier. Il lui semblait qu’elle s’alanguissait, qu’elle fondait : elle ignorait tout des intentions de la blonde, mais elle savait que cette journée qu’elles ...
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