L'impromptu du Bois d'Amour (1)
Datte: 24/12/2020,
Catégories:
f,
ff,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
fdanus,
jouet,
jeu,
attache,
baillon,
yeuxbandés,
fsoumisaf,
... presque, faisant bâiller son corsage sur sa poitrine. Elle le défit avec application. Corinne portait un soutien-gorge de tulle blanche si fine qu’elle en était quasi transparente, tendue sur ses mamelons aux larges aréoles brunes. — Vous êtes très appétissante, Madame B***. Ce vouvoiement subit troubla Corinne, comme si cette distance affichée donnait soudain plus de vraisemblance à leur jeu. — Ce serait dommage de déchirer un si joli vêtement… Cela mérite une photo, ne pensez-vous pas ?— Hein ? Mais non ! Vous n’avez pas le droit ! Clic. — Mais que voulez-vous faire de ces photos ? Je vous interdis de… Clic. — Arrêtez ça ! Tout de suite ! Clic. — Vous êtes charmante, Madame B***, mais votre conversation devient lassante. Et elle tira de sa poche un bâillon boule. — Ouvrez la bouche.— Mais non, protesta Corinne, vous ne pouvez pas ! Je veux dire… Mmpppfff. Corinne la contempla, les yeux grands écarquillés : elle ne s’attendait absolument pas à cela ! Elle n’avait pas opposé de réelle résistance, et Sylvie lui avait fourré l’ustensile dans la bouche sans difficulté. Clic. Clic. Clic. — Vous avez de jolis nichons. Vous aimez qu’on vous les pelote ? Sylvie lui caressa longuement les seins à travers le tissu, flattant les tétons granuleux hautement érigés et durcis, dégageant ses épaules des fines bretelles : l’adorable poitrine qui n’avait guère besoin de soutien s’épanouit exquisément. Corinne ferma les yeux et gémit doucement dans son bâillon. Sylvie lui retira alors les ...
... menottes et les remplaça par une cordelette, lui liant les avant-bras l’un contre l’autre des poignets jusqu’aux coudes. Clic. Clic. — J’ai beaucoup apprécié la visite que vous m’avez fait faire, mais je crois que vous ne m’avez pas tout montré. Alors je vais vous abandonner un moment, le temps de faire ma propre visite. Elle fit rouler Corinne sur le flanc, lui remonta sa jupe et glissa sa main entre ses cuisses, appréciant l’humidité de la culotte de la belle captive. Elle porta ses doigts mouillés à son nez. — Votre chatte semble apprécier. Et elle quitta la chambre. Seule, attachée, bâillonnée, Corinne était envahie de pensées torrides. Tirant sur ses liens et se tortillant sur le lit, elle se retrouva à plat-ventre, le nez sur les deux jouets érotiques de Sylvie. Elle frotta ses seins sur la lourde couverture aux longs poils synthétiques, et ses mamelons se raidirent. Si elle avait déjà testé la stimulation en solitaire avec un accessoire – sa brosse à dents électrique – elle n’avait jamais utilisé d’ustensile aussi explicite que le godemiché dont, à coups de menton, elle testa la fermeté : elle restait si souvent frustrée par une débandade maritale qui arrivait toujours trop tôt ! Alors ? Allait-elle aujourd’hui être baisée par cette belle et grosse queue, une queue qui jamais ne faiblit, qui jamais ne se relâche ? Elle avait hâte ! Dans sa chatte ! Dans sa bouche ! Sa jupe était maintenant tirebouchonnée au-dessus de ses hanches et ses seins avaient quitté l’écrin de son ...