Finement looong
Datte: 24/12/2020,
Catégories:
fh,
grossexe,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
amourdura,
extraconj,
... chassant ma phrase d’un geste de la main. Puis elle s’allonge sur le côté gauche, sa jambe du même côté tendue, l’autre recroquevillée. Moi, je m’agenouille de part et d’autre de sa jambe tendue, me positionnant ainsi tout près de son entrejambe offert. Elle connaît très bien la suite des opérations, ce n’est certainement pas la première fois que je la prends ainsi, d’autant que c’est elle qui le désire ! J’aime cette position un peu curieuse : je peux lui caresser voluptueusement les seins, jouer avec ses tétons durcis, la masturber en titillant son clitoris offert, tout en l’enculant joyeusement et profondément ! — Toujours aussi enculeur, mon Loulou ?— Toujours aussi enculée, ma Mamou ? Elle rit, mais ne change rien à sa position : — T’es con, tu sais !— Le con, c’est toi qui l’as, et ton cul, c’est moi qui l’ai !— T’es vraiment con de chez con ! Je me contente de caresser ses seins tandis que mon autre main furette sur ses fesses. Mon tuyau, qu’elle connaît très bien, se cale petit à petit dans son sillon arrière que je dégage lentement, pour mieux profiter de l’instant présent. En appui sur une main derrière l’oreille, elle me regarde en souriant : — Encore heureux que tu ne passes pas tout ton temps dans mon cul !— Ah bon ? Pourquoi tu dis ça ?— Nous n’aurions pas eu deux beaux enfants, mon Loulou…— Tu as totalement raison ! Nous les avons bien réussis ! Toi surtout !— Merci de ne pas oublier que j’ai fait quatre-vingt-dix-neuf pour cent de boulot !— Oui, oui, Mamou, ...
... mais c’est quand même moi qui ai donné l’impulsion de départ !— Pff ! T’es con, con, con ! Elle pouffe, s’allonge, se détend totalement, ouvrant légèrement sa délicate rondelle sombre. C’est tout ce qu’il me faut, mon gland trouve sans problème l’entrée et s’y enfonce avec aisance. Elle soupire de contentement de me savoir à l’orée de son ténébreux tunnel. Soulevant sa fesse droite, je facilite mon intromission en elle, tel un serpent qui disparaît dans son petit trou accueillant. Je caresse toujours son sein, le pétrissant, le possédant sans vergogne. Je coulisse de plus en plus loin en elle, j’adore me voir disparaître ainsi. J’abandonne son sein pour venir titiller son clitoris bien à l’abri dans une fente déjà assez humide, ce qui prouve, une fois de plus, que l’organe le plus sexuel reste le cerveau qui s’excite en fonction des circonstances, car pour une femme, il n’y a pas de prostate pour aider à la stimulation, même si l’anus est assez innervé. Emma aime que je la prenne ainsi, que je la possède toute entière de cette façon. Il est vrai que mon faible diamètre facilite grandement les choses ! Et puis comme j’adore passer par là, qu’une femme s’offre à moi de cette façon impudique et abandonnée, ça tombe très bien. Peu après, je commence lentement à la pistonner afin de faire entrer petit à petit toute ma longueur dans ses profondeurs intimes et obscures. C’est vrai que je pourrais me demander où se nichent mes nombreux centimètres de tige souple mais néanmoins assez ...